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« Chroniques de Jeuxvideo.com » : différence entre les versions

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La situation des chroniqueurs était assez précaire, n'étant pas salariés ils n'ont ni congés payés, ni chômage dans l'éventualité d'un arrêt de la chronique. Leur quota horaire dépassait largement les 35h hebdomadaire. Les chroniqueurs sont payés entre 200€ et 500€ à la chronique, et touchent 55% des revenus sur les publicités.
La situation des chroniqueurs était assez précaire, n'étant pas salariés ils n'ont ni congés payés, ni chômage dans l'éventualité d'un arrêt de la chronique. Leur quota horaire dépassait largement les 35h hebdomadaire. Les chroniqueurs sont payés entre 200€ et 500€ à la chronique, et touchent 55% des revenus sur les publicités.


Les relations entre JVC et les chroniqueurs ont toujours été tendues. Ceux-ci sont fréquemment pressés par la rédaction pour publier leurs contenus, et les chroniques sont souvent exposées à peine quelques heures sur la page d'accueil au lieu des 48h réglementaires. Pourtant elles font entre 100k et 200k vues.
Les relations entre JVC et les chroniqueurs ont toujours été tendues. Ceux-ci sont fréquemment pressés par la rédaction pour publier leurs contenus et doivent se débattre avec l'inertie de l'entreprise qui met beaucoup temps à s'améliorer techniquement, à répondre aux messages internes, et qui n'a aucun suivi des chroniqueurs. Les chroniques sont souvent exposées à peine quelques heures sur la page d'accueil au lieu des 48h réglementaires. Pourtant elles font entre 100k et 200k vues.


Suite à Respawn, les vues des chroniques baissent fortement sur JVC, en contre-point elles augmentent sur YouTube.
Suite à Respawn, les vues des chroniques baissent fortement sur JVC, en contre-point elles augmentent sur YouTube.
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''Petite précision tout de même, je ne reprends le boulot que le 31 juillet, donc pas d'inquiétude si je suis un peu long à répondre cette semaine.''
''Petite précision tout de même, je ne reprends le boulot que le 31 juillet, donc pas d'inquiétude si je suis un peu long à répondre cette semaine.''


''Bonne journée à tous :)''</blockquote>
''Bonne journée à tous :)''</blockquote>Suite à ce message, les chroniqueurs se mettent d'accord pour ne pas répondre à la pression.
 
Rivaol poste ce message :<blockquote>''Hello ! Tout d'abord nous n'avons bien sûr pas annoncé la fin des chroniques, mais au contraire, nous avons justement lancé un processus permettant de les péreniser. Comme nous sommes très attaché à elles, aux talents qu'elles mettent en valeur, à la fraîcheur qu'elles apportent à notre contenu éditorial et à l'image qu'elles véhiculent, ma vision des choses est assez simple : Les chroniques sont des produits éditoriaux forts et originaux, Jeuxvideo.com est le support de diffusion (et pas le plus petit), si l'un ou l'autre est défaillant, un travail est entrepris pour rectifier le tir. En l'occurence je pense que nous avons des progrès à faire à la fois en terme de produit et de support, d'où l'initiative que nous avons lancés afin d'endiguer la diminution de l'audience des chroniques. De notre côté nous travaillons sur l'amélioration du support. Le lecteur par exemple est l'objet d'un sprint de développement prioritaire. Et cela devrait porter ses fruits très prochainement. Mais pas que, le système d'abonnement, la mise en avant, la communication, tout ceci est en train d'être repensé. Toutefois cela ne suffira pas si le produit éditorial n'est pas/plus contenu par les lecteurs. Nous pensons en priorité à  satisfaire notre communauté, et fidéliser nos lecteurs autour de contenus forts. Si ils sont de moins en moins au rendez-vous c'est en effet en partie dû au support, mais aussi au produit, qui a potentiellement besoin d'un lifting, d'une remise en cause, d'apporter autre chose, de prendre des risques, nous avons lancé une reflexion qui consiste à renouveler l'offre des chroniques jeuxvideo.com pour la rentrée, ce qui ne signifie absolument pas virer les chroniqueurs actuels.''
 
Cela signifie d'une part renouveler les concepts existants, et d'autre part vous proposer de nouvelles chroniques. D'où cette communication dans laquelle nous demandons à nos chroniqueurs actuels de nous proposer de nouvelles idées, dans le but de relancer leur audience, et d'améliorer leur revenu, et les nôtres par extension inutile de s'en cacher.
 
Si cette logique est malsaine, alors que diriez-vous si nous livrerions nos chroniqueurs à eux-même, sans suivi éditorial, sans support. Les chroniqueurs ont les clés de leurs éditos. Nous les laissons totalement libres
 
En cours</blockquote>
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