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« Malaisologie » : différence entre les versions

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→‎Hypothèse biologique : Faute d'orthographe
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Le '''malaiseur''' est le porteur du malaise, c’est le patient zéro, la souche du mal, il porte en lui les germes du malaise à venir et les répand à travers différents vecteurs, internes à sa personne ou externes dont le public.  
Le '''malaiseur''' est le porteur du malaise, c’est le patient zéro, la souche du mal, il porte en lui les germes du malaise à venir et les répand à travers différents vecteurs, internes à sa personne ou externes dont le public.  


Le '''bideur''' doit lui même intériorisé la situation infâme qu’il créé et la renforcer de par ses mouvements qui trahissent une anxiété palpable, une volonté de disparaitre dans les profondeurs du néant.  
Le '''bideur''' doit lui même intérioriser la situation infâme qu’il crée et la renforcer de part ses mouvements qui trahissent une anxiété palpable, une volonté de disparaitre dans les profondeurs du néant.  


Le '''public''' est lui à l’origine et à l’aboutissement du malaise, il le créé en ce sens qu’il réintroduit le malaise (préalablement porté de manière saine par le bideur) chez ce même malaiseur mais cette fois le malaise est devenu « viral ». il s’agit en fait d’un cercle vicieux, un bon public ne retranscrira pas ou peu le malaise chez le bideur qui contrôlera donc la situation rendant à une tierce personne l’impression d’une maitrise sur le malaise, un mauvais public (ou juste humain) renverra tel un miroir sans fard les ondes infâmes qui émanent du bideur, perdant le contrôle il nous offrira l’image d’un homme désabusé, détruit, réclamant une mort courte et indolore ...
Le '''public''' est lui à l’origine et à l’aboutissement du malaise, il le créé en ce sens qu’il réintroduit le malaise (préalablement porté de manière saine par le bideur) chez ce même malaiseur mais cette fois le malaise est devenu « viral ». il s’agit en fait d’un cercle vicieux, un bon public ne retranscrira pas ou peu le malaise chez le bideur qui contrôlera donc la situation rendant à une tierce personne l’impression d’une maitrise sur le malaise, un mauvais public (ou juste humain) renverra tel un miroir sans fard les ondes infâmes qui émanent du bideur, perdant le contrôle il nous offrira l’image d’un homme désabusé, détruit, réclamant une mort courte et indolore ...
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