Pavé Faits-divers

Cet article est incomplet ! Il manque beaucoup d'informations cruciales sur le sujet qu'il aborde.
Un enrichissement dans ce sens serait très apprécié Voici les points à améliorer :

• Auteur et date de création à renseigner
• Préciser le contexte et la nature du délire, pourquoi ce pavé existe et quel est son propos ?

Le pavé

C'est dans la banlieue d'Auxerre qu'Anne et José, un couple d'agriculteurs de 57 et 58 ans ont fait la macabre découverte.

Au matin de ce Mardi 22 janvier, le couple effectue une promenade rituelle pour lui, lorsqu'il fait la macabre découverte. Il est 17h lorsqu'il tombe sur le corps d'un adolescent, visiblement criblé d'un nombre incalculables de projectiles tirées par une arme à feu de calibre lourd.

"C'était horrible... ma femme s'est évanouie, et je me suis retrouvé là, seul, face à ce corps déchiqueté et détruit par des impacts de balle. J'ai appelé une ambulance pour ma femme, et puis la police pour le pauvre gosse, il n'y avait plus rien à faire pour lui."

71. C'est le nombre d'impacts relevés sur le corps de l'adolescent, identifié plus tard comme Maxime A, un natif de la région âgé de 28 ans. Des balles de calibres lourds, visiblement tirées par un fusil d'assaut AK-47. La police a lancé un appel à témoins dans le but d'identifier les auteurs de l'agression, même si il semble évident pour la police que le règlement de compte est la piste la plus plausible.

"J'avais encore jamais vu ça. Dans la région, les meurtres aussi violents et brutaux sont plutôt rares, particulièrement quand ils sont commis par armes lourdes. Soit c'était un règlement de comptes, soit la personne responsable de ce massacre avait une sacrée dent contre ce gosse." déclare J, policier en charge de l'enquête.

L'adolescent a été transporté à l'hôpital d'Auxerre et ses jours ne sont pas en danger d'après les chirurgiens.

"Je suis tellement choquée et blessée pour la famille... perdre un fils, aussi jeune et d'une telle manière, quelle atrocité..." déclare quant à elle Anne, qui a découvert le corps avec son mari.

La mère de la victime quant à elle n'a pas souhaite faire de déclaration, et attend impatiemment de pouvoir serrer son fils dans ses bras.