Sharia Marapova

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Introduction

Sharia Marapova est le fruit d'une mutation nominale et sexuelle subie par la fameuse joueuse de tennis Maria Sharapova. Suite à cet incident, elle (nouvellement "il") décida de s'exiler sur jv.com en quête de renouveau.

Réflexions personnelles

D'idéologie récemment libérale, il s'est lancé dans une interprétation du libéralisme jusqu'ici peu imaginée. Alors que beaucoup parlent d'un libéralisme basé sur la recherche individuelle de profit, Sharia préfère imaginer un libéralisme basé sur l'ambition et l'épanouissement intellectuel de chaque individu, fruits indirects de valeurs innées. Ce seraient alors ces valeurs, et non l'intérêt immédiat, qui, étant communes, fonderaient les sociétés. Les sociétés seraient alors menées par des idéaux communs spontanés, qui aboutiraient a des consensus moteurs de développement.

Travaux

Auteur de l'Edit Nouveau, présentant un autre libéralisme.

L'Edit Nouveau

Il n'est dans ce Monde aucun élément qui échappe à la conscience de l'Homme, car c'est elle qui entretient leur existence. Par élément se définissent les sciences, les croyances, les convictions, les idées. De cette conscience naissent les éléments, dans cette conscience ils vivent. Source de choses infinies, elle est créatrice d'un monde, celui dans lequel elle vit. Nul n'a la légitimité de prétendre l'existence ou la connaissance d'une entité centrale, absolue et supérieure à l'Homme. Cette entité sera purement relative et subjective à la conscience, reflétant des valeurs et des volontés. La mise en place forcée d'une telle croyance sera une atteinte à la nature même de l'Homme, faussant son caractère, dénaturant ses valeurs essentielles, et le menant à un échec à moyen ou long terme. Nul n'a non plus la légitimité de prétendre cerner le fruit de la conscience et ses limites, se plaçant dans un contexte de matérialisation de celle-ci, menant l'Homme au rejet des valeurs, à l'hédonisme, au matérialisme, et ainsi à l'échec de sa nature.

Centre du Monde, l'Homme crée l'humain et le préserve. L'épanouissement de la conscience, la recherche de la connaissance et de sa compréhension sont le moteur de l'évolution de l'Homme dans son milieu relatif. La mise en place de projets, de volontés, d'ambitions et de rêves sont l'expression de cette évolution. Cette évolution se manifeste par les créations humaines. Dans la création humaine nait le divin, représentant des personnifications de valeurs abstraites, d'idées ou d'émotions, chacune prenant place dans des mises en scène imaginaires, contant une morale. Ainsi naissent les mythologies, à l'image de l'Homme. Dans la création humaine nait l'environnement relatif, les rapports avec celui-ci, l'habitat et les villes. L'Homme façonne son environnement à son image. Dans la création humaine nait la Loi, concrétisation de ses valeurs naturelles d'ordre sur le chaos. Elle est, elle aussi, à l'image de l'Homme. L'Homme crée donc le début et la fin de tout, un monde relatif dans lequel il évolue, le façonnant continuellement selon ses valeurs.

Il est alors aisé de comprendre que le moteur de la machine humaine sont les valeurs, logiquement liées les unes aux autres. Ce sont elles qui distinguent l'Homme du primitif. Poussé par ses valeurs, l'Homme créera abstraitement des projets, les rêves, et s'efforcera de les concrétiser. C'est ce processus sans fin qui fait avancer la société humaine, solide des valeurs altruistes humaines. Effectivement, l'Homme est social. Au-delà de ses désirs égoïstes, se situent des désirs altruistes, à plusieurs échelles. C'est ainsi que se fondent la famille, et la société, tous deux analogues mais à échelle et priorités distinctes.

La Famille

Fruit d'un amour, la famille est une micro-société basée sur des idéaux, les idéaux de l'amour puis de la famille, qui voit deux individus de sexes opposés emportés par le rêve amoureux d'une vie en couple éternel. Cette relation complexe fait place à l'envie de préserver les valeurs et l'identité des deux, dans le long terme. Forte de ses idéaux, la famille est la maison de chacun de ses membres qui y seront profondément attachés, constituant une véritable machine à rêver, gérer et créer. Concrètement, cela se traduit par une entrée de fonds, et une gestion de ceux-ci. L'homme labourant pour fournir à sa famille les richesses nécessaires, reléguées à la femme qui les administre concrètement ou moralement. Véritable micro-machine intelligente, la famille est la cellule d'une société saine. Les enfants de cette famille se verront éduqués dans les mœurs de leurs parents, et préserver des valeurs familiales nécessaires à l'identité propre, créant alors une lignée continuelle dans le temps.

La Société

Résultant de la nature sociale de l'Homme, la société est l'élément à grande échelle auquel l'Homme s'identifie. Par société, il faut entendre l'ensemble des individus ayant des liens mutuels directs, dans une zone géographique abstraitement délimitée. La nature sociale de l'Homme se traduit par un altruisme profond, basé sur une identification mutuelle de chacun à des valeurs communes, des similitudes, et autres éléments pré-existants, et donc sur une identité commune. Le résultat en est, encore une fois, une machine parfaite, créant des idéaux, des rêves, des projets, et, par cet élan, avançant constamment, progressant dans le temps. Naissent alors une culture et des traditions qui en découlent, concrétisant de plus en plus cette identité commune, et créant alors la notion de Civilisation.

Prélude d'un nouveau libéralisme

Les valeurs humaines sont en partie innées, en partie acquises. La partie innée est celle qui fonde les sociétés, l'acquise celle qui provient de l'identité familiale et de l'épanouissement personnel. Les civilisations sont donc naturelles et spontanées et non artificielles ou le fruit du hasard. Si ces dernières existent, elles seront fragiles et instables, à l'opposé d'une civilisation naturelle qui sera éternelle, tant que son identité est préservée. Cette identité est alors, en somme, la nature même des membres de la civilisation, d'où le besoin naturel de la préserver. Si cette nature vient à être altérée, la civilisation sera éteinte, puisque son identité n'existera plus.

Les civilisations naturelles, gouvernées par chacun, basées sur les valeurs, et trouvant leur essence dans la nature de leurs membres, seront l'essor des Hommes. Alimentées par leurs échanges mutuels de richesses et de savoirs, mais aussi par leur concurrence naturelle, les civilisations naturelles établiront l'harmonie entre tous les Hommes. Aussi paradoxal que cela puisse paraître à certains, l'exaltation des identités naturelles engendrera l'amitié et le respect entre les peuples.

Palmarès

Auteur de la chaine de topics sur les Araignées écrasées, et du concours Mademoiselle 15-18 2010, il est aussi devenu Seigneur des TALCs.