12
modifications
m (Ajout lien) |
(Ajout nouveau pavé) |
||
Ligne 315 : | Ligne 315 : | ||
On nettoierait, bien sûr, et tout le monde tairait le nom du coupable : ne le promettait-on pas à une carrière de ministre ? Mais les tendres amants qui se décideraient, ce triste dimanche, à visiter la Venise des Alpes et à franchir main dans la main le Pont des Amours, auraient à coup sûr une bien étrange surprise ! | On nettoierait, bien sûr, et tout le monde tairait le nom du coupable : ne le promettait-on pas à une carrière de ministre ? Mais les tendres amants qui se décideraient, ce triste dimanche, à visiter la Venise des Alpes et à franchir main dans la main le Pont des Amours, auraient à coup sûr une bien étrange surprise ! | ||
__________________________________________________________________________________________________________________________________________________ | |||
Dérivé du pavé par [https://www.jeuxvideo.com/profil/fidelcuistro3?mode=infos FidelCluistro3] ([https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-64042625-1-0-1-0-alerte-eric-dupond-moretti-incontrolable.htm lien]) : | |||
Le quartier tendait vers le démocratique, les rues en journées battues par les babouches, se muaient la nuit en méandres putrides. | |||
En émergeait alors un peuple laborieux, à la démarche sournoise et d'un caractère visqueux. | |||
Car ces gens là il pataugent, ils errent d'un air résolu de pitié à travers leur marais dernier cri, le jus jusqu'aux cuisses. | |||
Pourtant selon l'évolution ou du moins l'adaptation sommaire et de bon sens, l’engeance immonde de la faune locale eût dû être doté de longues jambes, qu'elle dégénère en échassier sordide en somme, histoire que l'horizon de merde il y gagne une sorte d'insignifiance. | |||
L'on s'en doute les échassiers jamais ne naquirent, la mutation sociétale en général ça ne tend pas à la consolidation des gènes supérieurs. | |||
A force ont leurs avaient fourgué les palmes pour mieux y nager dans leurs fange, des branchies même qui leurs poussaient à ces damnés invasifs. | |||
Moretti, énorme, naviguait, raclant portières et maçonnerie, on eu pu croire que c'était par loisir, mais imaginer pareil pachyderme se mouvoir sans tyrannique cornac relevait de l'énorme méprise. | |||
En vérité l'avocat digérait plus qu'il n’avançait, s'étant sustenté à l'ultime brasserie des environs, | |||
ce gigantesque porc avait tant baffré, que tel un docteur Goebels hystérique l'estomac avait décrété la digestion totale. | |||
Ce concours exclusif des organes à la défécation finale, priva le ministre du moindre discernement, aussi se permit t'il en pleine rue, d'octroyer un peu de conditionnelle. | |||
L'ogre sourit, il pouvait bien mépriser les magistrats, lui le gros Moretti s'acquittait de leur labeur à l'unique force de son rectum. | |||
Cependant tel un juge rouge sénile, l'anus de l'avocat fit preuve du plus profond laxisme, alors qu'il ne souhaitait pas trop ébruiter l'affaire, la toile tendu du caleçon vibra. | |||
Youcef et Mohamed frémirent, ce qu'une autre civilisation eût pu tenir pour le chant liturgique et subtil d'un vieil anachorète, nos deux larrons l'interprétèrent en une savante et lointaine sourate. | |||
Fébriles ils poussaient avec peine un rutilant scooter, adoptant la démarche souple et mesurée qui jadis gardait la mule âgée de piétiner le scorpion fielleux . | |||
Mais point ici de somptueux crépuscules orientaux, en ces heures tardives seules les lampes à vapeur de sodium teintaient de paludisme les yeux luisant des deux jeunes, moins heureuse encore fut l'apparence de leurs livrées sportives, neuves certes, mais qui tiraient à l’écœurant carnaval. | |||
Cependant et a leur décharge rappelons que tout honnête homme n'aurait dans ce dédale de faible inspiration grecque, adopté démarche moins veule. | |||
Youcef se figea, une odeur acre assaillit ses larges narines, il en fallait plus pour impressionner Mohamed, certainement un reste de semoule qui engorgeait le caniveau et puis la motocyclette était lourde, un détour exigerait d’excessifs labeurs. | |||
En dépit de la pestilence croissante, nos deux larrons s'enfoncèrent dans la ruelle fétide. | |||
Eric était en perdition, certes de savantes contorsions du sphincter avaient pour l'instant éluder de terrible fracas, seulement l'ogre de Maubeuge il n'a pas le pet mondain, la flatulence de loisir il connaît pas, lui quand il lâche une caisse c'est qu'on peut passer à la première série et contrairement à Rodin, les penseurs de gros Dupond, ils sont loin de sonner creux. | |||
L’œil dément le ministre balaya la ruelle à la recherche de la moindre palissade dont une lacune eût pu offrir l'accès sur un vague terrain d'aisance. | |||
Moretti jura, puis dans un sanglot et avec la merde au cul il avoua que le pittoresque populaire du gros Hugo s'était ranci, plus de terrain vague, plus de palissade, même qu'ici son gavroche il aurait pas tenu jusqu'à sa première barricade, on l'aurait planté de manière précoce à la sortie de la C.A.F | |||
Rien ! Pas d'issue ni de coin tranquille, seulement de mornes façades bardées par les méchantes carrosserie du parc automobiles français, le tout baigner dans cette lumière crue de lampes à décharge. | |||
Le tout ? Non ! Par chance un lampadaire vandalisé offrait la pénombre inespérée, le garde des sceau s'y rua, la lourde ceinture débouclé son pantalon de soie vient mourir en un drapé onctueux frôlant un caniveau alors luisant de l'urine maturée de la journée. | |||
Pour Acquitator la victoire était acquise, ces souliers de daim marinaient copieusement dans la pisse mais cette foi c'était certain il ne chierait pas dans son froc. | |||
Irradia alors à travers ses entrailles un lancinant présage, le gros homme, sans être versé dans le divinatoire saisit avec effroi que la lutte ne faisait que débuter. | |||
Lors d'une tentative désespéré il maquilla le borborygme abjecte qui s'échappa de son anus par l'imitation simiesque du miaulement d'un chat. | |||
Le caporal Jambert renâclait, sottement séparé de la patrouille il « quadrillait » comme l'avait suggérer le supérieur. | |||
Nerveux, le gendarme jurait que le caniveau sentait l'urine de dromadaire, pire, non loin agonisait en pétant je ne sais quel enroué félin. | |||
Fruits probables de l'imagination débordante d'un homme médiocre, ce dernier en était néanmoins certain, il n'allait pas tarder à tomber sur l'énorme charogne. | |||
Dans le fourgon il se flairait plus pisser le Jambert avec son saillant uniforme, faut dire avec sept camarades, prévenir le vol potentiel d'un cyclomoteur ça se situait dans l'abordable. | |||
Or il était plus là le scooter, dérober le scooter ... quant au supérieur il avait dit jadis que c'était pas du niveau de la gendarmerie, ainsi c'était dorénavant une question d’orgueil, ou d'honneur selon le supérieur. | |||
Seulement les gendarmes, si on peu admirer leurs versions d'élites et monté de l'empire, ils ont toujours été plus fort pour tirer dans le dos des poilus qui avançaient pas assez vite vers la tranchée d'en face. | |||
En témoigne le palmarès du Jambert, son ultime fait d'arme n'était pas de galoper dans le sillage du maréchal Ney, c'était d'avoir infligé 150 € d'amande à Gérard qui avait doublé à 140 sur l'autoroute. | |||
Youssef n'en démordait pas, à l'instar du pourcentage de pente qui alourdissait le scooter, l'odeur de putréfaction s'intensifiait, | |||
Mohamed lui, il était du genre visionnaire, se projetant par delà même les 50 derniers mètres avant le lampadaire brisé et la descente, il en était déjà à l'estimation du bénéfice. | |||
Mais aussi prévoyant soit il, Momo ne pu deviner la présence d'un gendarme qui subitement ondoya au-delà de l'horizon putride du trottoir. | |||
La route barrée, les deux jeunes lorgnèrent du coté de la pénombre mais à la frontière de cette dernière une sorte d'instinct primaire brisa instantanément leur élan. | |||
Tapie dans l'ombre et la pestilence, abjecte et sournoise, une créature les épiait | |||
Acquitator était pétrifié, un flic ne suffisait il pas ? , il fallait que sous son nez on lui adjoignent deux merdeux. | |||
C'était une véritable torture, le barrage à la haine et le front républicain que menait l'ogre dans son fondement ça méritait amplement la légion d'honneur et pas d'histoire de chevalerie s'il vous plaît, à ce stade d’héroïsme la république pouvait bien lui servir du « commandeur ». | |||
Mais le désarroi, la souffrance et la terreur rapidement firent place à la colère, qu'avait il fait de mal, n'assouvissait il pas présentement un besoin essentiel, naturel et élémentaire pour tout être humain ?. | |||
Que venaient foutre ici ces 3 incongrus, c'étaient-ils donné rendez vous dans l'unique dessin de le regarder chier ? voila bien un glorieux spectacle, comment pouvait on s'amuser de pareils sujets. | |||
les dégueulasses ! Les salauds ! Et bien ils n'allaient pas être déçus, ils allaient y assister à leur représentation de mauvais goût ! | |||
De rage le ministre de l'antiracisme ouvrit béant son anus ... tonnèrent alors les trompettes de l'apocalypse, leurs forces étaient telles que le roumain le plus intègre eut pu être tenté d'en dérober le cuivre. | |||
Le souffle coupé par la déflagration le gendarme fit volte face, un attentat salafiste ça réclamait du renfort | |||
Redoutant le mugissement d'un antique saurien nos deux jeune, loin d'être investi de l'âme de saint George, enfourchèrent leur larcin. | |||
Mais dans la tentative laborieuse de demi tour, le scooter glissa dans une poix noirâtre débordant de la rigole. | |||
L'avocat cessant la clameur de son rectum, des Masures environnantes les fenêtres ne tardèrent à briller. | |||
En somme on singeait le Jean-Pierre Pernaut de grosse audience, dès que cessait | |||
le jingle, la lumière nous dévoilait la vedette, seulement le présentateur il n'avait œuvrer qu'à un unique sujet, énorme certes mais on risquait tout de même d'être limité en informations. | |||
Par nuées déjà le voisinage vint observer l'origine du sinistre, en effet la nuit les mouches à merde se reposent. | |||
Gros Dupond habile et sans scrupule, télescopa la honte en triomphe. | |||
La dégradation de bien publique et l'attentat à la pudeur dont il était l'ouvrier se muèrent en contrôle au faciès, abus de pouvoir et violences policières. | |||
Avec flagornerie il félicita les deux jeunes, qui couverts de merde piaffaient tels de dégénérés et goudronnés cormorans. | |||
Gros Dupond remonta son pantalon et proclama avec émotion que lui le garde des sceaux de sang mêlé, luterait pour ses frères jusqu'à la mort ... en qu'en outre la répression inhumaine dont les quartiers populaires furent les victimes était depuis cette fantastique victoire, héréditairement abolie. | |||
Dans le dos du maître ,monolithique et odorante la stèle immonde de cette haute lutte faisait il faut l'avouer forte impression. | |||
enivré par la divin étron la foule bigarrée mugissait, entamant sa ronde infernal, , le pèlerinage avait débuté, aux hlm voisin parvenaient les échos d'une défaite fachiste majeure et si les sceptique questionnait le concept osé d'étrons providentiel, il fallait bien avoué que le sombre édifice était plus accessible que la Mecque | |||
Ivre de gloire le maître laissa échapper une mélopée formidable, nn instant effrayé la horde de métèques ne tarda à refluer vers légendaire. l'excrémentiel liesse ne tarissait pas, tous se mélangeaient dans ce torrent de merde, tous avaient la même odeur et la même couleur on touchait la selon le ministre, le paroxysme de l'égalitarisme républicain. | |||
Cela tournait à l’émeute, djellabas et babouches furent souillées et alors qu'on égorgeait les agneaux à même le caniveau, la bannière algérienne inopinément arborée glissa avec fracas dans la merde. | |||
Pire, lors d'un égarement mystique l'on prêta à la crotte de miraculeuses vertus. | |||
Un infirme roulant dans les environ fut mis à bas de son siège, oint d'excréments poisseux, le difforme grabataire se noya dans une fange dont les pouvoirs surnaturelles feraient ultérieurement l'objet de passionnés débats. | |||
Tout lutte engendre ses martyres. Jadis ils naquirent dans de somptueux cirques dorénavant il verraient le jour dans des rivières de merdes. | |||
Afin de calmer ces exaltations passagères un discours se révélait nécessaire, par expérience l'avocat il comprit que les subtilités de la langue française n'allait pas raisonner cette masse emprunte de diversité | |||
étranglé par l'émotion le maître du s'exprimer d'une manière détournée, certes plus rustre, mais d'une langage universel | |||
Ainsi l'énorme Moretti réquisitionna le fez d'un français de branche, il creva le couvre chef et le porta à son rectum. | |||
La force du discours fut décuplée. | |||
Tel le verra en rut, la foule luisante d’excréments remuait la fange en cadence, | |||
Moretti éructait, à ses pieds le tapis de merde s'étalait inéluctablement mais était il bien orienté vers la Mecque ?. Qu'importe la foi ne se mesure pas à l’aide d'une boussole. | |||
Au terme d'une tirade finale à l'accent un peu gras, le ministre tomba à nouveau le pantalon, puis d'un geste sophistiqué il lança au publique son caleçon plein de merde. | |||
La foule au paroxysme de la transe, accueilli la précieuse relique dans un mugissement bestiale, on arracha le drapeau algérien pour y porter le slip maculé, la foule se mit en branle, un nouveau jihad était né. | |||
Alors qu'au loin s'étirait l'odorant cortège, Gros Dupond les larmes aux yeux, s'essuyait à l'aide des restes d'un voile islamique. | |||
Mais ne nous méprenons pas, il ne s'agissait pas ici de douloureux hémorroïdes, Moretti songeait à sa pittoresque mère qui à quatre pattes récurait en son esprit, les chiottes sordides de je ne sais quel rentier. | |||
La brave femme pouvait bien être fier ce que venait de chier son fils dorénavant faisait figure de jalon, dans les méandres de l'aventure humaine. | |||
Sevré de sa mélancolie le ministre reprit sa route sans même se retourner. | |||
Après tout, les immigrés et tout les gens qui sont venus en France n'étaient pas près de se barrer demain. | |||
Ils pourront encore nettoyer sa merde. |
modifications