« Anime After Story (blabla) » : différence entre les versions

1er skype, automne arrivé des membres, explosion d'activité sur skype, creation d'une vrai communautée, icart fait un peu chier, début des premiers blind tests et de osu. (à compléter)

Création du "yuri > all" pour échapper aux trouduc, la communauté se resserre et il y a presque que des bons goy

Age sans trop de drama, quelques waifu war mais sans plus.

Tel le colosse au pied d'argile, l'Union des Républiques Soviétiques de l'AAS est fort mais fragile.

En effet cela tient du miracle que l'AAS soit encore debout. Provocation à répétition à l'encontre de la modération, des différentes communautés, flood à répétition du topic et du forum redirigeant vers l'AAS. Les personnes hostiles à l'AAS sont nombreuses.

Leur discours est très clair, le flood a assez durée, le topic sera lock si ça continue.

Bien entendu il n'en faut pas plus pour provoquer l'armée des codes qui s'empressent de flooder comme jamais.

Les modérateurs ne savent alors plus quoi penser : certe ce n'est pas de la faute de l'AAS si le flood est d'origine extérieur, mais les codes semblent être trop proche de la communauté.

C'est alors qu'un des modérateurs les plus hostile à l'AAS va commettre quelque chose d'irréparable et décider de locker définitivement l'AAS...

C'est un autre modérateur, beaucoup plus sympa mais un peu con qui nous prend sous sa coupe : OrangeMafieuse. Orange fait du très bon boulot et supprime tous les floods, délock le topic à plusieurs reprises, plaisante avec l'AAS. C'est une période tranquille pour l'AAS car elle dispose d'un modérateur qui est de leur côté.

Malheureusement, cela ne dure pas bien longtemps, et OrangeMafieuse et banni et destitué lui aussi. L'AAS se retrouve sans protection.

Les fauves de la modération se jettent alors sur leur proie, ils ne veulent absolument, aucunement, rien entendre. Damool en première ligne y a mis un point d'honneur. L'AAS est locké malgré les grandes protestations qui durent plusieurs semaines sous prétexte que « certains membres de la communauté se sont plains » sans jamais les nommer.

L'AAS est d'abord très heureux de cette réouverture, mais ils sont averti « vous êtes surveillé et évalué pour voir si ce topic mérite de rester ouvert ».

Pendant les dernières pages du topic avant le split l'AAS ne s'est jamais tennu autant à carreau. Et tristement, le jour du split, le topic est locké définitivement par Aristotedi sans qu'aucune raison ne soit spécifié.

Après le lock définitif du sacro-saint blabla Anime After Story, les habitués sont perdus. Ils n'ont plus de lieu de rendez-vous pour parler d'anime, mais surtout, l'impossibilité de shitposter sur le bon vieil AAS se fait de plus en plus frustrante au fil des jours. S'en suit alors une période d'errance de quelques semaines durant lesquelles une discussion houleuse à sens unique avait lieu entre des membres résistants et la modération. Pendant ce temps, les autres, plus défaitistes, se sont installés dans un taudis puant et abandonné crée par Fargan, un de ces kikoojap sus-cités. Les membres résistants se montrent vraiment persistants, et tiennent à peu près un mois avant d'abandonner les négociations face à une modération sourde et de toute façon incapable de gérer la gangrène de notre communauté. On ne peut pas vraiment leur en vouloir pour ça, mais tout de même, quelle bande de bras cassés. La communauté, enfin, ce qu'il en reste, se voit alors forcée d'émigrer pour de bon sur le vieux rafiot pourri de Fargan.

La vie est dure à Parlons Manga. Bizarrement, les modérateurs n'ont pas voulu délocker le Q.G. de la communauté, mais ils voulait bien que celle-ci squatte la roue de secours, alors que les deux avaient au final les mêmes habitués. Ils ont aussi renforcé la surveillance (comprenez ''abus de pouvoir''), et beaucoup de pseudos se voyaient kickés pour des raisons peu valables, alors que le message serait largement passé sur n'importe quel autre talc de cette déchetterie qu'est le 15-18. Bref, un enfer qui a participé à la chute d'activité de la communauté, déjà que les changements de topics non-prévus ne sont pas très recommandés.

Ces quelques membres ne voulant pas abandonner le topic pour partir sur Skype comme les autres contiuèrent à faire vivre difficilement mais sûrement ce topic, jusqu'au tant attendu split dans l'optique de changer la page d'accueil et de donner vie à un second ''Anime After Story''. Chose qui n'aura jamais lieu étant donné que Parlons Manga sera locké à 50 pages du split, pour cause de flood.

Ce fût alors un intense moment d'effervescence qui anima le skype à l'annonce du ForumJV "officiel". Cependant, la motivation est vite retombée lorsque, une fois le forum mis en place, l'activité n'était pas au rendez-vous. Le forum fut alors laissé pour mort malgré les multiples tentatives de relance des membres les plus farouches. Puis est arrivé après quelques semaines, sans surprise, le message annulant définitivement le projet de sous-forum proposé par GameOfPorn. La modération a habilement joué, il faut l'avouer. Donner l'espoir a toute la communauté d'un traitement spécial, proposer une alternatives sur les ForumJV qui ne sont pas au gout de tous (à cause des points evidemment bien que la plupart des membres ne s'en soucie guère) puis attendre que l'eau coule sous les ponts, noyer le poisson et asséner le coup de grâce. L'AAS n'était plus, totalement éradiqué de JVC... mais pour combien de temps ?

Après l'échec du ForumJV, l'AAS se retrouve plus orphelin qu'il ne l'a jamais été. Mais c'était sans compter un coup du destin inattendu : l'arrivée de Respawn.

Cette liste répertorie les membres dont l'activité au sein de la communauté a grandement diminué, au point où on ne les vois que rarement connectés, ou qui ont abandonné JVC au profit des groupes Skype de l'AAS.

Cette liste regroupe les noms de ceux qui n'ont pas su s'intégrer avec succès dans notre communauté, qu'ils furent un jour appréciés ou non, qu'ils aient été considérés des notres ou non, qu'ils aient fait des efforts d'intégration ou non.

Désolé pour les oublis, mais rajoutez vous

Au final on gagne