Encyclopedia Noelica:Alain Soral
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Droite sans valeurs, gauche des racailles|Slogan réel de Soral
Alain Bonnet Soral est un "sociologue" français. Pour lui, la sociologie, ça consiste à déblatérer des conneries avachi sur un canapé rouge. Il a marqué les esprits par le fort contraste qui existe entre ce qu'il prétend être (un gaulois viril, noble et droit, opposé au lobby sioniste / féministe / lgbt) et ce qu'il est réellement (un petit con vulgaire et névrosé). C'était, à un moment, l'un des chefs de file de la "dissidence", qui s'est effondrée depuis, en grande partie à cause de lui. Il a multiplié les dramas et "affaires" en tout genre, s'engueulant avec tout le monde et collectionnant les casseroles. C'était aussi une sorte de parasite qui s'était accroché à Dieudonné pour essayer de gratter un peu de son succès de l'époque.
Les vieux dossiers gênants
La drague de rue m'a amené à la culture livresque et à la conscience politique.|Soral, qui veut vraiment qu'on oublie son passé honteux|« Vie privée, vie publique », 7 mai 2003[1]
Soral a commencé sa carrière en tant que petite tafiole de la télé. Il ressemblait à Norman, et son manque de virilité évident contraste fortement avec l'image qu'il voudra se donner par la suite. Comme à l'époque, cet innovateur est un marxiste engagé, il était bien sûr en train de combattre l'oligarchie par des actes forts, comme faire de la boxe, sortir en boîte de nuit bobo, pratiquer la drague de rue, et écrire un bouquin sur la mode. C'est vraiment d'un avant-gardisme peu commun.
On a pu le voir s'improviser humoriste, avec des blagues on ne peut plus malaisantes et pas drôles :
Il a aussi assumé totalement ses expériences homosexuelles :
L'avantage d'être homosexuel, c'est qu'entre hommes on se comprend. [...] C'est-à-dire que moi, j'ai essayé aussi pour voir hein, c'est que quand on a envie d'une petite aventure rapide entre 23h et 1h du matin, on va au square, je dirai pas lequel, et en une demi-heure c'est fait.|Soral, à propos de la lutte contre le lobby LGBT
Cette homosexualité est d'ailleurs la cause de son antisémitisme. En effet, son fameux bouquin sur la mode est coécrit par son amant Hector Obalk✡, qui a été le seul à être invité à la télé pour en parler. Le petit minet Soral l'a très mal pris. Son égo ayant été froissé, voilà ce qu'il en a dit plus tard :
J’ai été manipulé par un juif qui a tiré la couverture à lui. A partir de ce jour-là, j’ai étudié le Talmud, l’histoire du sionisme. J’ai découvert que la trahison et la solidarité étaient au fondement de cette culture.
C'est donc une peine de cœur gay qui est à l'origine de la posture « judéocritique » de Soral, et pas du tout une réaction aux exactions d'Israël au Moyen-Orient, à propos desquelles il dit ceci : « Je suis Français, et j'en ai rien à foutre. »
C'est à cette époque qu'il réalise son film daubé, Confession d'un dragueur, qui est un échec commercial et critique. Le film est moqué pour son amateurisme, son côté vieillot et sa vulgarité. Pourtant, ça n'a pas empêché papi Soral, des années plus tard, de vanter son « génie incompris ».
Il dit la même chose à propos de ses premiers bouquins, que ce sont « des grands livres », des preuves de son « talent ».
Poupeto
L'extrait le plus convaincant du talent d'Alain Soral est sans doute son anecdote sur la fois où il a pris son pied à se faire lécher les couilles par un chien en prenant une meuf en levrette. Ce moment est décrit comme un « pur moment de tendresse »[2] et le « plus beau moment de communion charnelle dont [il se] souvienne ».[2]
J’allais me retirer quand une étrange sensation, humide et brûlante au bas des couilles, me fit perdre à nouveau toute notion de distance de la Terre à la Lune.
Abandonné inconscient au plaisir, je m’obligeai bientôt à porter une main ferme à sa source pour me saisir, au milieu des peluches, d’une petite touffe de poils vivante. Ouaf, ouaf ! La honte rétrospective pourrait me faire taire mais je dois à mon lecteur. C’était son petit chien qui me léchait l’arrière du scrotum de sa langue râpeuse et enfiévrée. Que dire ? Que faire ? La fille dont les fesses allaient et venaient devant moi comme du pudding anglais, était déjà partie trop loin pour s’intéresser à autre chose qu’à son fuyant plaisir. Je remis donc l’innocente petite bête au sol qui reprit aussitôt sa besogne.
Pétale de rose, concours canin. Oserai-je l’avouer ? Nous jouîmes en même temps, elle seule, moi avec le chien. Un petit yorkshire mâle à poils long de trois ans, vierge, prénommé Poupeto.
Poupeto mi corazon, à la langue rêche et aux yeux de velours ! Je ne sus jamais si tu avais été dressé à cet exercice par une paumée perverse, ou si cet élan d’amour t’était venu d’instinct. Quoi qu’il en fût, ce pur moment de tendresse – resté jusqu’à ce jour secret – est le plus beau moment de communion charnelle dont je me souvienne. Ouaf, ouaf ![2]
Ajoutons que, dans la bande dessinée Yacht People qu'il a scénarisée, il y a un personnage qui vit une histoire d'amour avec son chien, littéralement nommé Poupeto. C'est un journaliste gay qui a une vague ressemblance avec notre Soral national.
Le maître du Logos
Le Soral que l'on connaît tous, c'est le vieux chauve qui est assis sur son sofa rouge à parler de tout un tas de sujets sur lesquels il ne connaît rien avec un aplomb incroyable.
Débuts
Au début de l'affaire Dieudonné, il est interviewé, avec le principal intéressé ainsi que par Olivier Mukuna, par un journaliste de France 2. Étant fondamentalement un débile mental, Soral n'était pas au courant que les journalistes sont parfois un peu malhonnêtes sur les bords... Il a donc profité de l'interview, au cours de laquelle il a monopolisé la parole, pour vomir sur les Juifs, sans s'attendre à la moindre conséquence négative en retour. Le journaliste, en bonne petite pute qu'il est, a monté toute son émission là-dessus. En conséquence, les gros bras du sionisme (LDJ et Betar) ont saccagé à coups de manches de pioches une librairie dans laquelle Poupétoman dédicaçait son livre du moment. Il y a eu plusieurs blessés. La propriétaire est entrée en dépression, cessant définitivement son activité. Mais pas Soral, oh non : il a utilisé son courage et son honneur légendaires pour fuir comme un lapin, et s'en est sorti comme un charme.
Ensuite, il s'est rapproché du Front National dans lequel il a fait un passage éclair, sous prétexte « de le changer de l'intérieur ». Par la suite, a il dit qu'il a été le conseiller de Jean-Marie Le Pen et que c'est lui qui a écrit le discours de Valmy, ce que le vieux borgne a démenti explicitement.[3] Mais en 2009, Soral se voit refuser la tête de liste parisienne du FN aux élections européennes. Les yeux pleins de larmes de rage, il claque la porte, en écrivant un brûlot anti-Marine intitulé « Marine m'a tuer ! ».[4] Malgré son torchon, il retourne sa veste juste après et se met à sucer Marine à la radio, en finissant par un pitoyable « Je t'embrasse, Marine ! Bon courage à toi et vive le Front National ! ».
Mais juste après, nouveau retournement de veste, Dieudonné lui propose une place dans la Liste Antisioniste. Il oublie immédiatement ses promesses de "soutien inconditionnel" au FN, et rejoint la joyeuse troupe. Mais même au sein de cette liste, il devient très vite un mouton noir, de par sa personnalité insupportable qui le fait détester des autres candidats. Et puis, à un moment, il y a encore de la bagarre : dans le XXème arrondissement, Yahia Gouasmi prend des coups, Dieudo est temporairement aveuglé par une bombe lacrymo. Mais Soral, lui, a encore pris la poudre d'escampette. Il ne revient qu'après les faits, pour jouer les héros une fois que tout est fini.
Ali Sourate
Alain Soral suce beaucoup les Musulmans, ce que l'on comprend mieux quand on sait qu'il a reçu trois millions d'euros de la part des Iraniens, comme il le dit lui-même.
Bien entendu, il s'agit d'une posture tout à fait hypocrite. Dès qu'il s'adresse à un public de droite, il adopte un discours raciste, en bonne petite pute démago qu'il est.
Le logos de la comptabilité
Alain Soral possède de multiples rolex. Déjà sur l'affiche de la Liste Antisioniste, on peut le voir s'afficher, sa montre bien en évidence. Il a aussi une moto Godet à 70 000 €. Oui oui, on parle bien du même mec qui prend de haut les gens qui ont des cabriolets intérieur cuir. Les cabriolets, c'est le matérialisme et la décadence, mais les rolex et les motos de bourge c'est le survivalisme et la dissidence.
La technique de Soral pour se faire du fric consiste à inciter sciemment les procès pour collecter des dons auprès de sa secte de pigeons.
Le logos du vieillard
Le logos c'est comme le bon vin, ça s'améliore avec l'âge. Vous ne nous croyez pas ? Admirez plutôt.
Dramas
Drama avec Olivier Mukuna
Je m'adresse aux Français de confession musulmane. Mukuna, il n'est ni Français ni musulman, donc, comme dirait Dieudonné, tu fermes ta gueule, Mukuna !|Alain Soral
Olivier Mukuna est un métis belge engagé dans l'anticolonialisme et toutes ces conneries. Ça faisait un moment qu'il connaissait Soral quand, en 2011, il publie une lettre ouverte à l'encontre du gourou.[5] Il l'accuse principalement de l'avoir diffamé, en disant qu'il lui doit l'édition de son livre, ce qui est factuellement faux. Il souligne aussi d'autres éléments troubles de la vie du célèbre zoophile. Par exemple, sa fuite lors d'une agression dans une librairie, ainsi que le fait qu'il soit le seul à ne pas avoir été blessé parmi le trio de tête de la Liste Antisioniste. La lettre est un brûlot anti-soralien très virulent.
Soral, qui prend très mal cette attaque contre sa petite personne, va alors insulter Mukuna par messages facebook, sans doute à 4h du mat après s'être défoncé au subutex. La tension monte entre les deux hommes, au point que Dieudonné se sente obliger d'organiser une réconciliation. Il invite les deux hommes au Théâtre de la Main d'Or pour discuter et mettre les choses à plat. Mais ça ne se passe pas comme prévu. Mukuna s'énerve, se lève, et Soral ne riposte qu'en chialant. On l'a entendu faire prout, il aurait pu faire caca.
Un an plus tard, en 2012, il y avait des rumeurs circulant comme quoi Mukuna aurait pété la gueule à Soral. Il a démenti sur Facebook, expliquant ce qui s'est réellement passé, dans un témoignage pas très glorieux pour poupétoman. Ce dernier n'a pourtant jamais pris la peine de le contredire sur ce point, ou même d'apporter une version alternative. Comme quoi.
Pour pallier au témoignage inexact et déformé de « Bermok », voici le mien :
Le 15 décembre 2011, suite à une tentative de médiation – initiée par Dieudonné et sans me concerter préalablement -, je me suis retrouvé face à Alain Soral, au milieu de la salle de spectacle du Théâtre de la Main d’Or, vide de tout public … Dieudonné était assis à mes côtés ; son garde du corps, installé à côté de Soral.
1) D’emblée, le gourou s’est permis d’aboyer plusieurs conneries édifiantes à mon encontre. Ceux qui ont pratiqué Soral hors caméras savent parfaitement qu’il est impossible de discuter avec cet autoritaire maladif qui ne respecte aucune des règles élémentaires fondant l’échange sérieux. A plus forte raison, lorsqu’il vous a identifié comme critique envers son discours et ses positionnements … Excédé par sa stupidité insultante, je me suis levé et lui ai dit fermement : « Viens, on va régler ça dehors à l’ancienne ! « . Il n’a pas bougé et s’est tu … J’ai réitéré mon injonction en hurlant ! A nouveau, Soral n’a esquissé le moindre mouvement.
2) Dieudonné m’a alors pris par le bras pour me rasseoir à côté de lui. Son garde du corps s’est momentanément interposé entre Soral et moi, craignant que je ne l’empoigne. Ce que je ne voulais pas commettre dans l’enceinte du Théâtre. Par souci évident de respect envers Dieudonné et d’une partie de son public, encore présente à l’extérieur. Sauf, bien entendu, si Soral avait osé me toucher. Ce qu’il a eu la « bonne idée » de ne pas faire tout au long de notre confrontation.
3) Dieudonné a ensuite imposé un temps de parole à chacun, avec interdiction d’interrompre l’autre. Après que je me sois exprimé – résumant ma lettre ouverte ayant déclenché chez Soral l’envoi, deux semaines durant, d’insultes racistes négrophobes sur mon téléphone et sur son profil FB -, Soral a commencé à parler. Calmement, puis de façon presque inaudible. Soudain, il a fondu en larmes …
4) Comédie stratégique pour éviter une correction méritée ou acte spontané de contrition dû à un trop-plein émotionnel ? Peu importe. Son « comportement » des plus pathétiques a fini d’évacuer ma colère. Autrement dit, ce pauvre type, autoproclamé « dissident » et « entraîneur de boxe », m’a fait pitié. Après cela, l’incident était clos.
5) Nous avons convenu que s’il n’y avait plus d’attaques mensongères et grotesques à mon endroit dans ses vidéos, il n’y aurait plus de réaction publique hostile de ma part contre lui. Larmes séchées, Soral m’a tendu la main pour officialiser le « deal ». J’ai serré sa main, espérant qu’il tiendrait parole. Ce qui s’est confirmé jusqu’à ce jour. Tous les quatre, nous avons ensuite quitté la salle de spectacle pour rejoindre l’assistance encore présente au bar.
Voilà précisément comment notre altercation s’est déroulée et a pris fin. Devant deux témoins : Dieudonné et son garde du corps. Malgré mon injonction déterminée, Soral et moi n’en sommes pas venus aux mains. Ce qui, in fine, demeure préférable : l’opposition, même profonde et virulente, devant s’exprimer au travers du vrai débat contradictoire et pacifique.
Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais pas estimé pertinent ni informatif de relater publiquement cet épisode privé, vieux de près d’un an. Si je reconnais que le photomontage, partagé sur mon mur FB, m’a fait sourire, je constate aussi que se répand une rumeur selon laquelle j’aurais « cassé la gueule d’Alain Soral ». Je suis donc contraint de rétablir, ici, la vérité sur le déroulement de cette altercation.
Ce qui n’enlève rien à mes profonds désaccords et critiques envers l’essentiel du discours manipulatoire de Soral. Critiques développées dans ma lettre ouverte et pour laquelle – un an et demi après sa diffusion – aucun élément d’infos, aucune contre-argumentation sérieuse n’est venu remettre en cause le moindre mot…
Enfin, pour les « durs de comprenure », ça ira peut-être mieux en le réécrivant : le racialisme, la hiérarchisation raciale et le néofascisme à prétention commerciale ne constituent pas des outils de résistance et de subversion politiques. Mais participent à pérenniser la domination criminelle des oligarques du Nouvel Ordre Mondial et de leur myriade d’exécutants opportunistes.
En 2016, soit cinq ans après l'altercation, Soral ne s'en était toujours pas remis, comme on peut le constater sur ce screen.
Drama avec LLP
Salim Laïbi dit LLP, un autre membre de la dissidence, s'est disputé avec Soral. Il a fait toute une série de vidéos sur lui, intitulée Soraloscopie, ainsi qu'un livre, Le Mythomane : La face cachée d'Alain Soral. Il parle des pratiques économiques crapuleuses d'E&R, de la personnalité de Soral, etc. Bien entendu, le maître du Logos l'a très mal pris.
Le moment que la plupart des gens retiennent c'est qu'à un moment, Salim Laïbi a perdu son fils âgé de 3 ans, un fait qu'il a voulu garder privé. Soral a immédiatement profité de l'état de fragilité émotionnelle de LLP pour en rajouter une couche, et en guise de condoléances, lui a dit que c'était bien fait pour lui. Comme ça n'a pas vraiment plu au grand public, qui a critiqué Soral à cause de ça, il l'a ensuite accusé d'instrumentaliser la mort de l'enfant pour une croisade anti-Soral.
Affaire Conversano
Daniel Conversano, un ancien soralien, se moque régulièrement de Soral sur internet, le surnommant "Ali Sourate". Il lui reproche d'être trop soumis à l'Islam et aux Musulmans. C'est là un mensonge éhonté, après tout Soral n'a jamais reçu 3 millions d'euros de l'Iran, absolument jam- oh wait. En tout cas, Conversano est lui aussi un gros bouffon : sa stratégie pour que les Blancs s'organisent pour sauver la France de l'Islam, c'est d'aller en Roumanie pour y faire coach en séduction.
Enfin bref, Dieudonné a organisé un "débat", dans lequel Alain Soral a cassé la gueule de Conversano.
Le pilier de la pudeur chrétienne et du Logos perd son sang froid face à son adversaire et sa rhétorique haineuse.
Il traite Alain de bourgeois : Strike 1
Il insulte la horde de magrébin de Soral : Strike 2
Il affirme ne pas respecter le maitre du logos : Out c'est trop on insulte pas le maitre du Logos
Alain est clément et laisse son ennemi survivre. Il retourne s'asseoir.
Il est néanmoins obligé de revenir à la charge après que notre Conversano national ait gueulé : « Si le FN est à 30% c'est parce que les gens en ont plein le cul des arabes !!! »
Résultat des courses : Soral a montré qu'il est absolument incapable de débattre de manière civilisée, et a laissé un random le frustrer durant un débat au point d'en venir aux mains. Mais de son point de vue, ça ne montre pas sa stupidité, son égo, et sa racaillerie profonde. Non ça montre qu'il est un Gaulois viril. Alors bien entendu, il a immédiatement fait de la pub pour son DVD de boxe, et a affiché partout son corps aussi musclé qu'un personnage de Jojo.
Affaire Binti
En 2016, il arrive une nouvelle casserole à Soral. Il échange régulièrement avec une fille noire nommée Binti, par ailleurs fort jolie, dans le but de faire passer son palmarès de 600 femmes à 601. À un moment, Soral lui envoie une photo de sa bite, soi-disant pour lui prouver qu'il n'est pas juif parce qu'il a encore son prépuce (un acte tout à fait mesuré et normal). Persuadé que sa grosse bite de goy a charmé Binti, il lui propose alors de se rencontrer, afin de la troncher comme il se doit. Binti a alors le culot de refuser cet honneur, ce qui pousse Soral à l'insulter copieusement par SMS (deuxième acte normal et mesuré). Binti ne serait qu'une pute nègre, bonne qu'à se faire baiser par des Juifs...
Le sms et la photo de prépuce lui vaudront deux procès, et 14 000 euros d'amendes. Beaucoup lui tourneront le dos, trouvant que cette affaire démontre son racisme, son hypocrisie, son immaturité, sa perversion, etc. Lui-même affirmera au contraire que c'est un complot pour "tuer la France gauloise jusque dans son rapport à la femme". En bref, il dit que son pénis non circoncis dérange le système.
Quelques citations du gourou à Binti :
Ce soir je pense que c’est le moment de te remettre à ta place. J’ai renoncé depuis longtemps à ton cul. Tu es le genre de fille qui n’a aucun pouvoir sur moi. Je ne suis pas très branché black… Ton destin est d’être un fantasme à vieux blanc juif pervers… Ceux qui flashent sur les grandes blacks fines à grosse bouche et petit cul ! Pas génial comme avenir ! Les Blancs prennent les Blacks pour des putes, ce qu’elles sont le plus souvent. Finalement il ne te reste de sûr que les juifs et les pédés, les pédés comme amis pour t’écouter chialer que ton destin c’est d’être une pute à juifs… C’est triste effectivement !
J’ai d’autres chats à fouetter que de me payer une minable intrigante black qui tente de se faire un nom sans y arriver. Tu veux connaître ton destin ? Dans dix ans ton corps sera tout sec. Et avec ton gros pif sémite, tu ressembleras à un vieux chef indien. Sur le marché du travail, tu ne vaudras plus rien. Tiens, je te renvoie cette photo, j’ai trop peur qu’elle se perde et se retrouve sur Facebook, les gens sont si méchants.
Harcèlement qu'a reçu Binti de la part des sbires de papi Soral, dans l'espoir de la faire taire :
Salut, notre ami vient de nous filer tes photos… Pas mal… Si on entend reparler de toi, diffusion publique de tes photos et crois-nous on a du fan sur YouTube et nos sites.
On te prévient, on est là pour prendre la suite
Fais bien attention à ne pas aller trop loin, tu y laisserais des plumes
Galerie d'autres soraleries
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Topic "Alain Soral" sur Kiwi Farms
- Archive de la page "Alain Soral" sur l'ancien wiki dissidence
- Article "Alain Soral" sur Wikipédia
- ↑ Le mythomane : La face cachée d'Alain Soral, Laïbi Salim, 2015 Flat Luxe Editions p. 48.
- ↑ 2,0 2,1 et 2,2 Misère du désir, Alain Soral, 2004, Editions Blanche, p. 7. La page a été vérifiée dans un version piratée disponible sur internet.
- ↑ Interview de Jean Marie Le Pen par Enquête et débat, vers 9 minutes.
- ↑ Marine m'a tuer !
- ↑ Lettre ouverte à Alain Soral, Olivier Mukuna, 20 juin 2011.