Kheys, Administrateurs
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== Le pavé == | == Le pavé == | ||
{{ | {{BoxPavé|Pavé=Sombre illettré impénitent, apprends à écrire ! Pourquoi une telle inappétence linguistique ? Pourquoi ne fournis-tu pas le moindre effort pour surmonter tes exorbitantes, malséantes et incommodantes lacunes orthographiques, et du même coup obvier aux ténèbres idiolectales en lesquelles tu te meus ? Est-ce lié à une déficience d'instruction ? À une nature indiciblement cossarde ? Tu m'atterres suprêmement. As-tu conscience de porter la déliquescence à son paroxysme ? Tu avilis la société. Tous ceux qui, à l'instar de ta fangeuse personne, sont inaptes à la graphie congruente à leur moyen d'expression participent de l'alarmant, patent, endémique et incoercible nivellement. Honnêtement, ton orthographe défaillante ne te lèse-t-elle pas dans la vie quotidienne ? ne s'en gausse-t-on jamais ? C'est un indubitable handicap, dont tu t'enorgueillis ; cela me révulse. Tu te vautres dans un ostensible illettrisme. Voilà qui est affligeant. | ||
Peut-être eût-il été envisageable d'engager un dialogue construit et pondéré, mais avec un niveau aussi bas, tu dois compter parmi ces béotiens qui deviennent furibonds dès que l'on a l'outrecuidance de remettre en cause leur « personnalité orthographique », leur droit inaliénable à ne pas savoir conjuguer, leur sacro-sainte liberté de malmener la langue française, et c'est désolant. Un peu de calme, de recul et d'échange posé et consciencieux sans immédiatement percevoir comme pédantes et amphigouriques objurgations ce qui n'est qu'humbles recommandations relève sans doute de l'utopie. Aujourd'hui, le progrès est vu comme dégénérescence, la liberté comme ostracisme. | Peut-être eût-il été envisageable d'engager un dialogue construit et pondéré, mais avec un niveau aussi bas, tu dois compter parmi ces béotiens qui deviennent furibonds dès que l'on a l'outrecuidance de remettre en cause leur « personnalité orthographique », leur droit inaliénable à ne pas savoir conjuguer, leur sacro-sainte liberté de malmener la langue française, et c'est désolant. Un peu de calme, de recul et d'échange posé et consciencieux sans immédiatement percevoir comme pédantes et amphigouriques objurgations ce qui n'est qu'humbles recommandations relève sans doute de l'utopie. Aujourd'hui, le progrès est vu comme dégénérescence, la liberté comme ostracisme. | ||
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== Version améliorée par Enodlabiz == | == Version améliorée par Enodlabiz == | ||
{{ | {{BoxPavé|Pavé=Pourquoi une si cyclopéenne inappétence et une telle prévarication linguistiques, circonvoisines de l’aphasie ? Ne t’objurgue-t-on pas d’honorer ton apostolat de parachèvement de l’expression ? Ne vois-tu pas les quelconques se conjouir devant tes verbigérations abstruses, tes amphigouris sibyllins, tes babélismes labyrinthiens, apanages de l’insane que tu incarnes ? Pourquoi ne prends-tu pas à tâche de verser le moindre atome de sueur pour suppléer à tes gigantales, malséantes et éléphantesques perfectibilités orthographiques, et subséquemment obvier à cette flétrissure qui t’ennoie ? L’exondation sotériologique que je m’ingénie par longanimité à te faire aviser t’est cabalistique, opaque, aussi trouble que l’hydrolat méphitique où tu t’abîmes. Cette ingénuité démersale, que je te souhaite être une amathie, est-elle imputable à une pharaonique omission éducationnelle ? à une pendable idiosyncrasie, indiciblement cossarde, indolente, atone ? Réputerais-tu pour cardinale l’apicale déréliction, déconvenue dans laquelle tes déraisonnements et mécomptes m’acculent ? Ton pneuma enfiellé n’embrasse-t-il pas sa propension indélibérée et spastique à agir par la déliquescence générationnelle vers son apex, à-pic duquel tu t’es alors déjà précipité ? Tu plonges sans vérécondie ta phratrie dans la gifle, conduisant ta cognation à la résipiscence de ta naissance, atavofigures dont l’escient jaculatoire ne t’est apertement pas parvenu en hoirie. Tous les disetteux cérébraux qui, à ton instar, sont inaptes à composer congrûment dans leur idiome natal participent au délétère et climatérique nivellement par le bas. Compendieusement, ta turpitude orthographique ne te jette-t-elle pas dans la contrition ? ne la porte-t-on jamais à ta docte sapience ? Ce logogriphe ne te confronte-t-il pas à des traverses dans la squalide et surérogatoire édification de ton eccéité ? C'est là une titanique vilenie, dont tu es infatué ; c'est fangeux. Tu te goûtes dans un incoercible illettrisme et demeures altier léans, rencogné dans cet ergastule. Voilà qui me contriste. Peut-être eût-ce été envisageable d’encommencer une substruction langagière, mais avec un niveau aussi hadal tu dois être de l’engeance des vulgaires qui deviennent épidermiques dès que l'on dénie leur « personnalité orthographique », leur inaliénable licence de mal écrire, criant au byzantinisme, à la capiloquadrisectomie voire à l’inane ; c’est là l’affût de l’inhabile à oblitérer sa condition d’aliboron.}} | ||
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