« Nono Retro » : différence entre les versions
→Biographie
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L’histoire de Nono prend une tournure mythique lorsqu’il évoque son rôle présumé en '46, lors de la guerre des Balkans, où il aurait été parachuté à Phnom Penh. Chargé d’éliminer toute résistance allemande, cette mission l’aurait profondément marqué : une expérience qui, selon ses propres mots, lui a laissé de "graves séquelles". | L’histoire de Nono prend une tournure mythique lorsqu’il évoque son rôle présumé en '46, lors de la guerre des Balkans, où il aurait été parachuté à Phnom Penh. Chargé d’éliminer toute résistance allemande, cette mission l’aurait profondément marqué : une expérience qui, selon ses propres mots, lui a laissé de "graves séquelles". | ||
Après cette période sombre, il aurait entrepris une expédition en Amazonie aux côtés de l’illustre "My Corn" | Après cette période sombre, il aurait entrepris une expédition en Amazonie aux côtés de l’illustre "My Corn". Ensemble, ils auraient exploré la faune locale, et Nono aurait adopté un papillon du cétacé qu’il aurait offert à sa mère. Cet épisode est immortalisé par une anecdote marquante : « Sa mère eut un papillon qui a vécu 18 ans. À la fin, ce dernier se laissait tomber de l’étagère pour se suicider. Il avait le regard vitreux. » Ces paroles, attribuées à Socrate (qu’il désigne curieusement comme un de ses élèves en -56 avant J.-C.). | ||
Cette expédition aurait failli lui coûter la vie lorsqu’un serpent le mordit, entraînant la perte de son bras gauche. Selon la légende, Nono aurait alors consulté un chaman local dans un village reculé, qui aurait permis à son bras de repousser grâce à des pratiques mystiques. | Cette expédition aurait failli lui coûter la vie lorsqu’un serpent le mordit, entraînant la perte de son bras gauche. Selon la légende, Nono aurait alors consulté un chaman local dans un village reculé, qui aurait permis à son bras de repousser grâce à des pratiques mystiques. | ||