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« Preda-alpha » : différence entre les versions

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user: f910fbe (?)
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"Je fus ravi en esprit au jour du Saint-Gland, et j'entendis derrière moi un bruit fort, comme le son d'une trompette chenue. Je me retournai pour connaître quelle était ce bruit. Et, après m'être retourné, je remarquai avec effroi qu'il s'agissait d'une grande paire de divine Fesses roses. Et, au centre de ce monstre, je vis une silhouette qui ressemblait à notre Dieu, le Saint-Gland, vêtu d'une longue robe, et ayant une ceinture d'or. Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige, ses yeux étaient comme une flamme de feu. Ses pieds étaient semblables à de l'airain ardent, comme s'il eût été embrasé dans une fournaise, sa voix était comme le bruit de grandes eaux et son visage était comme le soleil lorsqu'il brille dans sa force. Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant: Ne crains point! Je suis le premier et le dernier, et le vivant. J'étais mort, et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts. Il me dit: écris donc les choses que tu as vues, et celles qui sont, et celles qui doivent arriver après elles, mon cher Preda." -FessesRoses
"Je fus ravi en esprit au jour du Saint-Gland, et j'entendis derrière moi un bruit fort, comme le son d'une trompette chenue. Je me retournai pour connaître quelle était ce bruit. Et, après m'être retourné, je remarquai avec effroi qu'il s'agissait d'une grande paire de divine Fesses roses. Et, au centre de ce monstre, je vis une silhouette qui ressemblait à notre Dieu, le Saint-Gland, vêtu d'une longue robe, et ayant une ceinture d'or. Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige, ses yeux étaient comme une flamme de feu. Ses pieds étaient semblables à de l'airain ardent, comme s'il eût été embrasé dans une fournaise, sa voix était comme le bruit de grandes eaux et son visage était comme le soleil lorsqu'il brille dans sa force. Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant: Ne crains point! Je suis le premier et le dernier, et le vivant. J'étais mort, et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts. Il me dit: écris donc les choses que tu as vues, et celles qui sont, et celles qui doivent arriver après elles, mon cher Preda." -Les Fesses Roses
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