Informations pour « Encyclopedia Noelica:Alain de Benoist »

Informations de base

Titre affichéEncyclopedia Noelica:Alain de Benoist
Clé de tri par défautAlain de Benoist
Taille de la page (en octets)2 222
Espace de nomsEncyclopedia_Noelica
Identifiant de la page19806
Langue du contenu de la pagefr - français
Modèle de contenu de la pagewikicode
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Créateur de la pageJysix (discussion | contributions)
Date de création de la page5 octobre 2023 à 00:53
Dernier rédacteurChocoRat (discussion | contributions)
Date de la dernière modification11 mars 2024 à 14:29
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Description

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Alain de Benoist écrit en 2013 : « Qu’un écrivain déclare, comme la chose la plus naturelle du monde, qu’il préfère le commerce charnel des très jeunes personnes aux turpitudes classiques de ses contemporains, et il n’en faut pas plus – en pleine société permissive – pour le faire passer pour le Diable dans le Landerneau parisien. […] Pour ma part, c’est ce « scandale » qui me scandalise. Question de goût d’abord : n’aurait-on pas le droit de préférer caresser les hanches des lycéennes plutôt que la poitrine mafflue de la comtesse Grancéola (réplique matznévienne de la Castafiore ou la ménopause bien sonnée de la baronne Adélaïde Cramouillard, présidente de l’Union mystique universelle. Question de principe aussi : on peut désapprouver ce que l’on veut, mais comment peut-on, au sens propre du terme, être choqué par quoi que ce soit ? Quant à la gravité du délit, enfin, il me semble, selon mon échelle de valeurs personnelles, qu’il est plus « scandaleux » de regarder les jeux télévisés, de jouer au Loto ou de lire Le Meilleur, que d’avoir la passion des fesses fraîches, des émotions naissantes et des seins en boutons. Bien des imbéciles se sont horrifiés de la publication des Moins de seize ans. Que des adultes qui admettent fort bien que leur progéniture s’abrutisse des journées entières devant des machines à sous ou des téléfilms débiles, tremblent à l’idée que leur fille, plutôt que de passer son temps avec des crétins de son âge, puisse coucher avec un écrivain « qui pourrait être son père » et tomber dans les rets de ce suborneur de Gabriel, me fait, quant à moi, plutôt éclater de rire. […] Quant aux jeunes personnes qui fréquentent Gabriel Matzneff, je ne doute pas qu’elles apprendront à son contact plus de choses belles et élevées que dans la vulgarité et la niaiserie que secrète à foison leur vie familiale et scolaire. »[1]
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