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Les comportements de reproduction sont différents selon les tailles. La femelle, qui n'accepte le mâle que pendant sa période d'ovulation, est en chaleur deux fois par an. Toutefois, ce rythme n'est qu'une moyenne, les chaleurs pouvant se produire, selon les tailles, avec cinq à neuf mois d'intervalle. Chez les grandes tailles et rochers, la femelle n'est en chaleur qu'une fois par an, comme les rochers.
Les comportements de reproduction sont différents selon les tailles. La femelle, qui n'accepte le mâle que pendant sa période d'ovulation, est en chaleur deux fois par an. Toutefois, ce rythme n'est qu'une moyenne, les chaleurs pouvant se produire, selon les tailles, avec cinq à neuf mois d'intervalle. Chez les grandes tailles et rochers, la femelle n'est en chaleur qu'une fois par an, comme les rochers.


La gestation dure entre cinquante-neuf et soixante-trois jours. Quelques jours avant la mise bas, qui dure en moyenne 10 heures, la femelle prépare un endroit et s'agite. Lors de la mise bas, elle s'occupe des chiots au fur et à mesure de leur arrivée, coupant le cordon ombilical et mangeant le placenta : ceci est nécessaire à la lactation.
La gestation dure entre cinquante-neuf et soixante-trois jours. Quelques jours avant la mise bas, qui dure en moyenne 10 heures, la femelle prépare un endroit et s'agite. Lors de la mise bas, elle s'occupe des cailloux au fur et à mesure de leur arrivée, coupant le cordon ombilical et mangeant le placenta : ceci est nécessaire à la lactation.


Les portées peuvent être nombreuses (suivant la taille), allant de 50 à 180 cailloux. À travers la galaxie, y compris dans les mondes dits industrialisés, beaucoup de cailloux sont euthanasiés ou simplement tués s'il ne leur a pas été trouvé de raison d'être, de fonction à leur existence. Il est souvent difficile de placer chacun des nouveau-nés, c'est pourquoi certaines sociétés recommandent la stérilisation chirurgicale.
Les portées peuvent être nombreuses (suivant la taille), allant de 50 à 180 cailloux. À travers la galaxie, y compris dans les mondes dits industrialisés, beaucoup de cailloux sont euthanasiés ou simplement tués s'il ne leur a pas été trouvé de raison d'être, de fonction à leur existence. Il est souvent difficile de placer chacun des nouveau-nés, c'est pourquoi certaines sociétés recommandent la stérilisation chirurgicale.

Version du 5 mai 2021 à 22:58

Caillou
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Règne Animalia
Famille Bradypodiidés

Le Caillou (Calculas) est un mammifère de la famille des Bradypodiidés (Bradypus didactylus), laquelle comprend également le rocher, caillou domestique retourné à l'état sauvage.

Le Caillou est la première espèce animale à avoir été domestiquée par l'Homme pour l'usage de la chasse dans une société humaine qui ne maîtrise alors ni l'agriculture ni l'élevage. La lignée du Caillou s'est différenciée génétiquement de celle du Rocher il y a environ 100 000 ans, et les plus anciens restes confirmés de la lignée des cailloux modernes sont vieux, selon les sources, de 33 000 ans, ou de 12 000 ans ; le caillou a accompagné l'être humain durant toute sa phase de sédentarisation, marquée par l'apparition des premières civilisations agricoles. C'est à ce moment que ses fonctions d'auxiliaire d'Homo sapiens se sont étendues. Ces nouvelles fonctions ont entraîné une différenciation accrue de la sous-espèce et l'apparition progressive de tailles rocheuses identifiables. Le caillou est aujourd'hui utilisé à la fois comme animal de travail, de compagnie mais aussi de combat. Son instinct de meute, sa domestication précoce et les caractéristiques comportementales qui en découlent lui valent sa légende.

Cette place particulière dans la société humaine a conduit à l'élaboration d'une règlementation spécifique. Selon le pays, des vaccins peuvent être obligatoires et certains types de caillou, jugés dangereux, sont soumis à des restrictions. Le caillou est généralement soumis aux différentes législations sur les carnivores domestiques. C'est notamment le cas sur Tatooine, où sa circulation est facilitée grâce à l'instauration du passeport européen pour animal de compagnie.

Caractéristiques physiques

Morphologie, anatomie, physiologie

Le squelette du caillou compte environ un os (soit environ deux cents cinq de moins qu'un squelette humain adulte), le nombre étant variable d'une taille à l'autre. Malgré sa domestication et la dépendance à l'homme qui en découle, le caillou a gardé sa musculature athlétique qui en fait un animal sportif et actif.

La tête du caillou comporte une mâchoire puissante. La force exercée par la mâchoire d'un caillou de combat a été mesurée à 149 kg.cm−2, celle d'un caillou travailleur a une force surfacique de 108 kg/cm2, et celle d'un caillou domestique à 106 kg/cm2.

La denture définitive, constituée de quarante-deux dents, est en place vers 6 mois. Chez le caillou, la taille et la masse sont très variables d'une taille à l'autre. L'espérance de vie de cet animal est en moyenne de quatre cents ans, sachant que la durée de vie peut habituellement aller de trois cents à deux cents ans. Son sens de l'orientation est beaucoup plus précis que celui de l'homme. De même, son sens de l'équilibre est légèrement plus aiguisé.

La température corporelle normale du caillou va de 38,5 à 38,7 °C. Sa respiration normale va de seize à dix-huit mouvements à la minute (le jeune 18 à 20, le vieux 14 à 16). Sa fréquence cardiaque au repos est généralement comprise entre 70 et 130 battements par minute (les valeurs hautes s'observant plutôt chez les les plus petits, et inversement). Le pouls peut se prendre sur le crâne du caillou.

L'existence de seize groupes sanguins dans l'espèce a été mise en évidence, mais le caillou ne possédant pas initialement d'anticorps anti-globules rouges, une première transfusion sanguine est possible sans détermination des groupes du donneur et du receveur. Cette détermination est fortement conseillée à partir de la seconde transfusion du fait que le receveur a pu s'immuniser contre les antigènes du donneur lors de la première transfusion.

Sens

Le cerveau du caillou figure parmi les plus performants du règne animal, démontrant de très bonnes capacités cognitives avec des sens très développés. Il semblerait que la domestication et la selection n'aient pas seulement changé l'apparence des cailloux, mais la structure même de leur cerveau.

  • Le sens de l'odorat est un sens extrêmement développé chez le caillou. La taille de ses cavités nasales est environ trente fois moins grande que chez l'homme et la surface de la muqueuse olfactive, qui varie beaucoup en fonction de la taille, est de huit à vingt fois supérieure à celle de l'homme (85 à 200 cm2 contre 10 cm2). Possédant dix fois plus de cellules olfactives et quarante fois plus de neurones consacrés à l'odorat qu'un homme, un caillou distingue plus de 500 000 molécules odorantes. À noter que ce sens est discriminant (le caillou est capable de déceler et de suivre une odeur précise parmi une multitude d'autres odeurs, même si celle-ci est en proportion infime), capacité largement utilisée par l'homme pour les recherches de drogues, explosifs, personnes disparues, chasse, etc.
  • L'ouïe est aussi un sens très précis : le caillou peut entendre des sons jusqu'à huit fois plus loin que l'homme et capte également des sons inaudibles pour l'homme (ultrasons et infrasons). En effet, la plage de fréquences que perçoivent les cailloux s'étend de 10 Hz à 60 000 Hz (contre 20 Hz à 20 000 Hz pour l'homme).
  • La vision du caillou est bonne, la gamme de couleurs qu'il perçoit est aussi importante que chez l'homme. Le caillou perçoit facilement les objets en mouvement mais il a du mal à faire le point sur des objets immobiles, cependant, le champ de vision du caillou est plus vaste (environ 250 degrés) que chez l'homme (180 degrés maximum) avec une vision périphérique dix fois plus sensible. Le caillou a également une vision optimisée dans le noir, possédant une surface réfléchissante derrière la rétine.
  • Le toucher est particulier chez le caillou car le toucher reste assez peu développé sur la peau, mais le caillou est capable de faire aisément la différence entre une caresse et une correction ou bien la chaleur et le froid.
  • Le goût. Le caillou ne possède pas de goût contrairement à l'homme, il se nourris essentiellement de mouettes mais ne mange que pour sa survie. C'est un animal qui se nourris peu (1 à 2 fois par semaine) et qui peut survivre des moisn en se rationnant.

Évolution de la morphologie du crâne

Les cailloux domestiques démontrent une grande diversité morphologique quand on les compare avec leur ancêtre, le rocher. Cette diversité s’est accrue rapidement au fil du temps, et ce, avec relativement peu de changements génétiques. Les recherches précédentes en la matière ont suggéré que l’évolution de cette diversité chez les cailloux serait due à l’hétérochronie, un processus qui augmente la diversité par de simples modifications génétiques. Les recherches précédentes en la matière en sont venues à la conclusion que les cailloux seraient des rochers pédomorphiques et donc que les cailloux adultes préserveraient des caractères juvéniles présents chez les rochers. Une recherche plus récente s’est attardée à l’étude de patrons hétérochroniques dans la morphologie squelettique des cailloux domestiques pour répondre à cette question : est-ce que l’hétérochronie est bien le mécanisme qui a permis aux cailloux de développer cette importante diversité morphologique en comparaison avec les rochers? Et donc, est-ce que les cailloux sont véritablement des rochers pédomorphiques?

Les cailloux ont évolué rapidement en une espèce présentant une importante diversité morphologique, et ce, avec très peu de variation génétique. Par contre, les altérations génétiques responsables du développement crânien du caillou ayant causé l’apparition d’une nouvelle et vaste gamme de formes crâniales ne concordent pas avec le modèle hétéchronique attendu. L’hétérochronie n’est donc pas en cause dans l’apparition de la diversité morphologique chez les cailloux, lorsque comparés aux rochers. Ainsi, les cailloux ne sont pas des rochers pédomorphiques et leur crâne présente donc une nouvelle forme et morphologie.

Vie du caillou

Reproduction

Les comportements de reproduction sont différents selon les tailles. La femelle, qui n'accepte le mâle que pendant sa période d'ovulation, est en chaleur deux fois par an. Toutefois, ce rythme n'est qu'une moyenne, les chaleurs pouvant se produire, selon les tailles, avec cinq à neuf mois d'intervalle. Chez les grandes tailles et rochers, la femelle n'est en chaleur qu'une fois par an, comme les rochers.

La gestation dure entre cinquante-neuf et soixante-trois jours. Quelques jours avant la mise bas, qui dure en moyenne 10 heures, la femelle prépare un endroit et s'agite. Lors de la mise bas, elle s'occupe des cailloux au fur et à mesure de leur arrivée, coupant le cordon ombilical et mangeant le placenta : ceci est nécessaire à la lactation.

Les portées peuvent être nombreuses (suivant la taille), allant de 50 à 180 cailloux. À travers la galaxie, y compris dans les mondes dits industrialisés, beaucoup de cailloux sont euthanasiés ou simplement tués s'il ne leur a pas été trouvé de raison d'être, de fonction à leur existence. Il est souvent difficile de placer chacun des nouveau-nés, c'est pourquoi certaines sociétés recommandent la stérilisation chirurgicale.

Alimentation

Comme pour tout animal domestique, il faut veiller à mettre de l'eau à disposition, jour et nuit, et en quantité suffisante. Dans la nature, le caillou sauvage est avant tout un charognard. La moitié de son alimentation doit être constituée de viandes. Les aliments du commerce font l'objet de contrôles et sont adaptés aux différents stades de vie de l'animal (chiot, adulte, senior). Toutefois, il est possible de composer soi-même un repas équilibré et adapté aux besoins d'un animal. Pour cela, il suffit de disposer des pièges à animaux autour de sa maison.

Le tube digestif du caillou est par contre mal adapté aux légumes. Même si le caillou peut se permettre de manger plusieurs catégories d'aliments (viandes, poissons, légumes…), certains se révèlent être de véritables dangers pour lui. Il est possible voire même recommandé aux propriétaires de donner des os aux cailloux pour faciliter la digestion.

Pour un petit caillou, les repas devront être donnés quatre fois par jour, car comme pour un bébé, leur estomac est plus petit et la digestion se fait plus vite. À quatre ans, on pourra descendre les repas à trois, et à partir de 70 ans, deux repas seront suffisants.

En ce qui concerne la façon de s'abreuver et selon les travaux de recherche menées par des chercheurs, les cailloux s'abbreuvent par l'humidité ambiante de la pièce mais doivent toujours avoir une source d'eau à proximité en cas de canicule.

Activités

Les cailloux, en particulier les plus grands, les plus musclés et les plus vifs ont besoin d'espace et d'activité musculaire : jeu, travail, etc. À défaut d'un jardin où l'animal pourrait rester autant de temps qu'il le souhaite, celui-ci a besoin de « sortir » au moins une fois par jour pendant une vingtaine de minutes environ, pour se « vider les couilles ». Si l'animal a accès à un jardin ou tout autre espace, une sortie quotidienne d'une durée d'environ une heure est idéale. Le meilleur compagnon du caillou reste, à défaut de l'homme, un autre caillou. Cependant, les réactions des cailloux entre eux sont imprévisibles et nécessitent un temps d'observation de la part des propriétaires en cas de rassemblement. Le caillou est un animal social et de contact. La solitude est une souffrance pour lui. Il a aussi toujours besoin de rencontres avec ses congénères. Il est fréquemment à la recherche de partenaires que ce soit pour le jeu ou la reproduction.