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=== Chapitre 6 - Premier salon, premiers salariés ===
=== Chapitre 6 - Premier salon, premiers salariés ===
''En cours''
L'OI emménage enfin dans ses locaux 14 avenue Garric, au sein du complexe d'entreprises de Tronquières à Aurillac. Cela permet à Lightman de sortir de son isolement. L'OI quant à elle se rapproche avec beaucoup d'entreprises pour des publicités croisées dans l'effervescence du Web à ses débuts. En effet, 1999 est l'année où le Web commence à être médiatisé, les jeunes entrepreneurs français abandonnant leurs études pour se lancer à la conquête du Web dignes d'une ''success story'' à la Amazon suscitent l'enthousiasme auprès des journalistes.  L'OI représente d'ailleurs la région Auvergne à un concours national des espoirs du Net et est de plus en plus sollicité par des acteurs du milieux.


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JVC enrichit sa boutique en vendant des jeux-vidéos, que Lightman commandait puis réexpédiait fastidieusement, ce qui était très chronophage par rapport à la masse de tâches à accomplir, sans parler des tests de jeux à faire chaque jour. Complètement débordés, les trois acolytes décident d'employer un nouveau salarié qui s'occupera de la rédaction. Une page de recrutement est donc ouverte sur le site, et une centaine de personne candidatent. Les entretiens se déroulent dans les locaux de JVC avec des candidats face à un Lightman hésitant et incertain quant à la manière de conduire un entretien. Ce sera finalement [[Kornifex]] qui sera choisi, le premier rédacteur de JVC. À peine quelques semaines plus tard [[Melo]] est engagé également.
 
Lightman commande, par curiosité, un rapport d'audit à un ami consultant pour évaluer la valeur de JVC. Le rapport indiquera que Jeuxvideo.com vallait environ 8 millions de francs, ce qui ragaillardit l'équipe. Celle-ci se rend à l'[https://www.wikiwand.com/fr/European_Computer_Trade_Show ECTS] 1999 qui est le premier salon couvert par l'entreprise. Lightman et Kornifex assistent à de nombreux rendez-vous avec des acteurs du Net et produisent un compte rendu des prochaines sorties vidéoludiques.
 
Le mois consacré aux mises à jour arrive : septembre 1999. Stoub travaille 20h d'affilée pour produire une nouvelle version du site pour supporter le nombre toujours croissant d'utilisateurs, notamment sur les forums. Peu après un webdesigner du nom de Reno, connu de longue date de Lightman postule pour travailler à l'OI. Il sera engagé et permettra d'apporter son expérience à un domaine que personne ne maîtrisait très bien dans la petite entreprise. Celle-ci reçoit le PDG de Micromania venu tâter le terrain et obtenir des renseignements sur le Net.
 
=== Chapitre 7 - Cession ===
En cours.


== Références ==
== Références ==
<references />
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Version du 15 mai 2023 à 13:00

La Bible du JVC pre-Respawn.

Jeuxvideo.com - Une odyssée interactive est un livre de Sébastien Pissavy (alias Lightman) de 250 pages publié en 2013 aux éditions Pix'n Love[1]. Il y raconte l'histoire de la création de l'ETAJV en 1995 puis celle de Jeuxvideo.com depuis sa création en 1997.

Sébastien Pissavy, fondateur et dirigeant du site Jeuxvideo.com, dévoile à travers ce livre les coulisses de l'évolution de son entreprise, L'Odyssée Interactive, depuis la fondation de cette dernière en 1997 jusqu'à son départ de la société en 2012. Unique en son genre, cet ouvrage décrit un parcours aussi étonnant que passionnant, celui d'un jeune entrepreneur inexpérimenté qui, depuis Aurillac, à force de patience et de dévouement, est parvenu à mettre en place l'un des plus grands médias vidéoludique européens, en plus d'une entreprise prospère de près d'une quarantaine de salariés.

Apogée du Minitel suivie de la démocratisation d'Internet, mise en place des flux continus d'information et de la vidéo sur le Web : ce livre, qui tisse en filigrane l'évolution de la société de l'information en même temps que des métiers de la presse spécialisée, est par ailleurs riche en enseignements et conseils sur le monde de l'entrepreneuriat ; il constitue un témoignage vibrant de notre époque, à l'heure de l'évolution rapide des moyens de communication.

4e de couverture.

sommaire puces.png Acheter en ligne (lien non sponsorisé) : 24€ dont frais de port.

Résumé

Dans l'introduction, Pissavy explique qu'après sa démission de Jeuxvideo.com en août 2012 il éprouvait le besoin de raconter son histoire pour clore ce chapitre de son existence. Grâce à la totalité des mails qu'il a conservé depuis 1997, il entreprends de raconter son expérience en essayant au maximum de retranscrire son état d'esprit de l'époque.

Chapitre 1 - L'encyclopédie

Lightman effectue son service militaire en 1995, il est affecté à la cellule informatique du régiment où il joue secrètement à des jeux-vidéos tels que Doom II ou Dune II. Il explique que sa passion pour l'informatique et le jeu-vidéo ont conduit ses parents à lui offrir pour Noël les ordinateurs VG-5000 et Amstrad CPC 6128 sur lesquels il jouait à de nombreux jeux cultes de l'époque. L'arrivée du minitel lui fait découvrir RTEL, un service de messagerie où des passionnés échangeaient autour de l'informatique. Il s'inscrit dessus sous le pseudo Lightman, inspiré du nom du héro du film WarGames sorti en 1983.

Après le bac, Lightman acquiert l'Amiga 500 puis le PC 468 qui lui ouvre les portes du monde PC. Il continue de lire assidûment la presse spécialisée en informatique et de participer à de petits projets collaboratifs entre passionnés tels que des fanzines numériques ou des démos.

Durant l'été 1995, il ressent le besoin de se lancer dans un projet d'envergure. À l'époque, à part quelques serveurs minitels, la diffusion de solution pour les jeux-vidéos au niveau relevé était très restreinte. L'idée d'une encyclopédie de trucs et astuces pour jeux vidéo lui vient alors à l'esprit, projet qu'il nommera l'ETAJV. Le 5 juin la première version de l'ETAJV sous forme de fichier d'aide Windows (extension .HLP) est terminée. Elle comporte des astuces pour treize jeux et est distribuée gratuitement en freeware. Petit à petit il l'enrichit en recueillant de nouvelles astuces et sollicite des magazines spécialisés qui acceptent de diffuser l'ETAJV sur leurs CD accompagnant les revues, et l'entreprise DP Tool Club spécialisée dans la diffusion de freeware qui rajoute l'ETAJV à son catalogue.

L'ETAJV acquiert une petite notoriété et Lightman reçoit de plus en plus de courriers de joueurs partageant leurs astuces. Cela alourdit le travail de Lightman qui doit passer de plus en plus de temps à entrer les textes dans l'ETAJV avec un PC très lent. C'est alors qu'il fait appel à un ami qu'il a connu via RTEL : François Claustres, alias Leviathan, autre passionné d'informatique, pour l'aider. Leviathan code alors une base de données avec un minilangage pré-HTML permettant de gagner en efficacité et en simplicité, tout en améliorant la mise en forme des textes.

Chapitre 2 - Le Minitel

L'ETAJV continue de gagner en notoriété, et une société propose à Lightman de l'éditer sur le Minitel sous forme de numéro taxé 3615. Pour ce faire il crée une association baptisée Aliena Informatique et engage comme deuxième associé Jérôme Stolfo, alias Stoub, petit génie de l'informatique de 19 ans, capable de programmer à un niveau avancé. Stoub crée la page Web de l'ETAJV en mars 1996 à une époque où l'accès à internet était très peu démocratisé et très cher : son fournisseur autorisait 150 Ko de données seulement.

Le nom de domaine était : http://www.cadrus.fr/~jstolfo/etajv.html et les visiteurs n'avaient accès qu'à un lien de téléchargement de la dernière version de l'ETAJV. Le site reçoit plus d'un millier de visiteurs, les lettres contenant des astuces et mots d'encouragements affluent chez Lightman.

sommaire puces.png Le 3615 ETAJV et les débuts sur le web

Le nombre d'utilisateurs croît toujours plus, Lightman commence à vendre 25 francs des disquettes expédiées partout contenant l'ETAJV. Toujours plus de magazines, fanzines, et sociétés de diffusion s'arrachent l'encyclopédie et le serveur Minitel 3615 ETAJV reçoit beaucoup de joueurs désireux de connaître la solution à leur jeu, permettant d'engranger des bénéfices. Yahoo France choisi l'ETAJV comme site de la semaine, faisant bondir la visibilité du site.

Chapitre 3 - Naissance de Jeuxvideo.com

Première version de JVC mi-1997, sans les images.

Début 1997 le serveur Minitel fait gagner assez d'argent aux trois comparses pour leur permettre de voir plus grand. À ce titre Lightman considère que le Minitel fut un tremplin pour la suite de son aventure, et non pas un boulet. Leviathan suggère à Lightman de créer une entreprise. Celui-ci n'imaginait pas avoir à en arriver là et consulte un expert comptable ami de sa famille qui lui conseille de créer une SARL. Pour ce faire il faut réunir la somme de 50.000 F, ce qui est colossal pour le jeune Lightman qui doit assumer 55% de la somme tandis que Leviathan et Stoub s'acquittent respectivement de 25% et 20%. Les trois se rencontrent pour la première fois à Saint-Flour puis se dirigent vers un cabinet comptable pour créer L'Odyssée Interactive, un nom choisi pour évoquer un voyage vers l'inconnu et l'aventure. Lightman, âgé de 23 ans seulement, évoque le vertige que représentait ce tournant dans l'aventure ETAJV au moment d'apposer sa signature.

En peu de temps le budget de l'entreprise est liquidé en nouveau matériel, disquettes vierges, frais internet. Lightman se penche sur la réservation d'un nom de domaine plus simple et générique pour permettre l'essor de son entreprise. Étonné que Jeuxvideo.com ne soit pas déjà déposé, il le réserve en février 1997[2]. Stoub code et designe intégralement le site en quelques semaines. Il contenait un top des jeux-vidéos du moment, la dernière version de l'ETAJV téléchargeable, des actualités, et trois forums rudimentaires libres d'accès sans besoin d'inscription. Stoub assurait à lui seul la maintenance technique et produisait le contenu éditorial.

Chapitre 4 - Premiers clients, premiers concurrents

Version septembre 1997.

Le site gagne en visibilité en étant partagé par Wanadoo et MSN. Pourtant à l'époque le Web était désastreux : très peu ergonomique et avec un débit très lent, il était réservé à une élite technophile. Le premier concurrent de JVC qu'est Overgame dépose le nom de domaine jeux-video.com en toute connaissance de cause : ce site factice servira de redirection vers Overgame pendant plusieurs années, ce qui n'est pas sans déplaire à Lightman qui juge cette pratique déloyale.

Lightman évoque son émerveillement lorsqu'il put enfin accéder à Internet et abandonner le Minitel, trop rigide et cher, et son enthousiasme face à des milliers de sites écrits par des passionnés partageant leur savoir et des freeware. Jeuxvideo.com de son côté reçoit 90.000 visiteurs en avril 1997, et 30% de plus chaque mois. Sur les forums la bonne entente règne, très peu de flood et de troll selon Lightman. JVC soumet un sondage aux utilisateurs pour mieux connaître leur profil et ainsi permettre de faire de la publicité ciblée : 97% d'hommes, en général des collégiens, lycéens, et étudiants passionnés de jeux-vidéo. Chaque mois une nouvelle campagne de pub sous forme de bannière GIF était ajoutée manuellement, permettant à l'entreprise de percevoir ses premiers revenus.

En septembre 1997 Lightman démissionne de son job de développeur, non sans hésitations, pour se consacrer à plein temps à L'Odyssée interactive qui percevait assez de revenu pour lui fournir un petit salaire. Insatisfait du design du site, l'équipe demande à Stoub de le repenser. Une version plus professionnelle et arborant un jaune saturé caractéristique sera choisie et mise en ligne. La mascotte Geevey (prononcé jivai, en référence à JV) fait également son apparition et donne au site un aspect plus sympathique et humain, elle est dessinée par un petit cousin de Leviathan. Le site inclut des news, 4 nouveaux forums, et un module de chat développé par une entreprise allemande.

Sur le même modèle contributif que l'ETAJV, les utilisateurs pouvaient proposer des articles que JVC publiait. Lightman quand à lui gère JVC vissé devant son ordinateur sept jours sur sept, de 7h30 à minuit, tel un moine obsédé par son site web. Mais pour augmenter ses revenus l'entreprise réalise quelques prestations informatiques auprès de divers clients. Lightman éprouve le besoin d'acquérir des locaux afin de gagner en crédibilité. Il apprends qu'un complexe de locaux pour les jeunes entreprises des nouvelles technologies s'implante en périphérie d'Auriac, une chance qu'il saura saisir. L'OI perçoit aussi sa première et dernière subvention de 40.000 F, ce qui sera un vrai coup de pouce.

Fin 1997 la concurrence avec Overgame prend un nouveau tournant lors de son rachat. Les dirigeants dénigrent publiquement Jeuxvideo.com et font comprendre à Lightman que son site amateur ne tiendra pas face au mastodonte disposant de bien plus de moyens financiers. S'engage alors une rivalité entre David et Goliath, entre la petite équipe de passionné travaillant d'arrache pied et la super-entreprise machine. l'ETAJV cumule 1000 astuces pour 800 jeux, JVC enregistre 475.000 visiteurs et le serveur Minitel 2500€ en chiffre d'affaire sur le seul mois de décembre. Au total L'OI cumule 40.000 F de bénéfice depuis sa création, ce qui rend optimiste l'équipe.

Chapitre 5 - Décollage de la publicité et du rédactionnel

L'équipe désire toujours plus enrichir JVC. D'abord un annuaire des sites traitant de jeux-vidéos implémenté sur JVC, puis une petite boutique pour vendre des Action Replay en février 1998. Une version offline du site de 5 Mo seulement permettant d'avoir accès à l'intégralité de son contenu voit le jour sur disquette, mais reste peu diffusée. Pendant ce temps les bénéfices dus aux publicités sont en dent de scie, et Lightman souhaite trouver une solution plus pérenne. Il dégotte une petite régie parisienne aussi artisanale que l'OI pour gérer les pubs qui génèrent environ 10.000 F à 15.000 F par mois. Cependant le serveur Minitel reste le principal pourvoyeur de fonds et Lightman a conscience qu'il doit continuer de chercher de nouveaux revenus.

Le site I-score.com révèle le classement des sites français les plus visités : Jeuxvideo.com est 26e, ce qui enthousiaste fortement Lightman qui commence à réaliser le fort potentiel du site. L'équipe se retrouve pour la deuxième fois IRL à Paris pour participer à une conférence où Lightman présenta l'évolution de l'ETAJV et de Jeuxvideo.com devant un public. Une expérience stressante, mais qui lui permit de rencontrer d'autres créateurs. Il participe aussi à deux concours de création d'entreprise où l'OI gagne deux prix et un peu d'argent.

En juin 1998 le palier du million de vues en un mois est atteint, et les revenus de la publicité décollent enfin, ce qui permet d'employer Stoub et de lui verser un salaire. En septembre 1998 l'ETAJV est déclinée sur console, et JVC migre sur un serveur flambant neuf. Mais un nouveau Goliath entre dans l'arène : Gamespot.fr, une succursale française du géant américain Gamespot.com, et qui compte bien écraser JVC. Lightman refuse tout compromis et continue de tracer son chemin.

Pour conserver son avance, JVC subit une refonte pilotée par Stoubs qui permet l'ajout de nouvelles rubriques. Apparaissent des tests de jeux-vidéos réalisés sommairement par Stoub et Lightman sur leur temps libre, des dossiers sur le jeu-vidéo, mais aussi des previews sur les prochains jeux à sortir délivrant des informations que Lightman glanait en visitant des développeurs et des salons. JVC devient alors plus qu'un site amateur : un magazine en ligne qui s'impose de plus en plus dans le paysage de l'internet français.

Chapitre 6 - Premier salon, premiers salariés

L'OI emménage enfin dans ses locaux 14 avenue Garric, au sein du complexe d'entreprises de Tronquières à Aurillac. Cela permet à Lightman de sortir de son isolement. L'OI quant à elle se rapproche avec beaucoup d'entreprises pour des publicités croisées dans l'effervescence du Web à ses débuts. En effet, 1999 est l'année où le Web commence à être médiatisé, les jeunes entrepreneurs français abandonnant leurs études pour se lancer à la conquête du Web dignes d'une success story à la Amazon suscitent l'enthousiasme auprès des journalistes. L'OI représente d'ailleurs la région Auvergne à un concours national des espoirs du Net et est de plus en plus sollicité par des acteurs du milieux.

JVC enrichit sa boutique en vendant des jeux-vidéos, que Lightman commandait puis réexpédiait fastidieusement, ce qui était très chronophage par rapport à la masse de tâches à accomplir, sans parler des tests de jeux à faire chaque jour. Complètement débordés, les trois acolytes décident d'employer un nouveau salarié qui s'occupera de la rédaction. Une page de recrutement est donc ouverte sur le site, et une centaine de personne candidatent. Les entretiens se déroulent dans les locaux de JVC avec des candidats face à un Lightman hésitant et incertain quant à la manière de conduire un entretien. Ce sera finalement Kornifex qui sera choisi, le premier rédacteur de JVC. À peine quelques semaines plus tard Melo est engagé également.

Lightman commande, par curiosité, un rapport d'audit à un ami consultant pour évaluer la valeur de JVC. Le rapport indiquera que Jeuxvideo.com vallait environ 8 millions de francs, ce qui ragaillardit l'équipe. Celle-ci se rend à l'ECTS 1999 qui est le premier salon couvert par l'entreprise. Lightman et Kornifex assistent à de nombreux rendez-vous avec des acteurs du Net et produisent un compte rendu des prochaines sorties vidéoludiques.

Le mois consacré aux mises à jour arrive : septembre 1999. Stoub travaille 20h d'affilée pour produire une nouvelle version du site pour supporter le nombre toujours croissant d'utilisateurs, notamment sur les forums. Peu après un webdesigner du nom de Reno, connu de longue date de Lightman postule pour travailler à l'OI. Il sera engagé et permettra d'apporter son expérience à un domaine que personne ne maîtrisait très bien dans la petite entreprise. Celle-ci reçoit le PDG de Micromania venu tâter le terrain et obtenir des renseignements sur le Net.

Chapitre 7 - Cession

En cours.

Références

  1. (ISBN 978-2918272649)
  2. Le livre précise que les trois compères se sont rencontrés et ont créé l'entreprise en avril 1997, il s'agit donc là d'une incohérence temporelle.