« Pavé Pendant la levrette » : différence entre les versions

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== Le pavé ==
== Le pavé ==


{{BoxSélection|Toi, fiers mâle alpha ou souffre-douleur, peu importe qui tu es ! Pendant le temps que dure une levrette nous sommes tous des seigneurs de guerre. Ta virilité se cristallise, tu es le dominant, le maître de se bout de viande prosternée à 4 pattes devant toi. Tu la sens soumise à toi et tu as bien raison car elle l’est ! Pourquoi serait-elle nue en face de toi sinon ?
{{BoxPavé|Pavé=Toi, fiers mâle alpha ou souffre-douleur, peu importe qui tu es ! Pendant le temps que dure une levrette nous sommes tous des seigneurs de guerre. Ta virilité se cristallise, tu es le dominant, le maître de se bout de viande prosternée à 4 pattes devant toi. Tu la sens soumise à toi et tu as bien raison car elle l’est ! Pourquoi serait-elle nue en face de toi sinon ?


Agenouillé tel un guerrier grec, tu regardes avec un plaisir accapareur le corps de ta femelle tel un présent qui t’est offert. En face de toi, se dresse son corps nu sur lequel tu peux apprécier sa délicieuse paire de fesses agrémentée de ses formes féminines qui libère en toi des instincts primaux. Son postérieur est à toi, tu peux en faire ce que tu veux. En contrebas, tu vois trôner son vagin, véritable fort à assiéger, gouverné par un souverain étrillé qui à la vue de votre pièce, sans appel, ouvre l’impénétrable cuirasse que forment ses lèvres charnues aux teintes rosées tels les pétales d’une rose à la première rosée du matin. Ton pénis, non ton dard que dis-je ton rostre reproducteur se dresse. Rien n’est plus éminent que le sexe masculin et je défie le sexe faible de pouvoir dresser leur sexe à la seule force de leurs pensées.
Agenouillé tel un guerrier grec, tu regardes avec un plaisir accapareur le corps de ta femelle tel un présent qui t’est offert. En face de toi, se dresse son corps nu sur lequel tu peux apprécier sa délicieuse paire de fesses agrémentée de ses formes féminines qui libère en toi des instincts primaux. Son postérieur est à toi, tu peux en faire ce que tu veux. En contrebas, tu vois trôner son vagin, véritable fort à assiéger, gouverné par un souverain étrillé qui à la vue de votre pièce, sans appel, ouvre l’impénétrable cuirasse que forment ses lèvres charnues aux teintes rosées tels les pétales d’une rose à la première rosée du matin. Ton pénis, non ton dard que dis-je ton rostre reproducteur se dresse. Rien n’est plus éminent que le sexe masculin et je défie le sexe faible de pouvoir dresser leur sexe à la seule force de leurs pensées.
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