« Pavé Trou du cul d'Angèle » : différence entre les versions

De JVFlux
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''Vous l'imaginez comment ? Je l'imagine encore juvénile, comme son visage. Un truc étroit, quasi invisible entre deux fesses qu'elle tient à sa croupe. Le tout caché derrière une aspect rosé et quelques touffes de longs poils blonds parsemés qui ont pu s'imbiber de la sueur, du sang et de l'urine produite par des journées de stress intense à enchaîner les lives et les présentations commerciales. Un truc aussi mignon qu'un petit félin, mais capable de grogner à lui seul comme une meute de Cerbère enragés qui viennent de se faire ouvrir les portes de l'Hadès. Car derrière ce petit fessier, se cache des litres d'étrons. Et je me demande bien à quoi ressemble son trou de balle quand il commence à s'entre-ouvrir pour laisser se disloquer en haute mer le vol 447 Air France. Aux chiottes, après un kebab mal digéré. Merci la viande avariée. Son cul blanc vissé sur la cuvette. La voilà rendue à pousser comme tout autre mortel pour que son trou du cul commence à entrer en ébullition, un volcanologue se demanderait là s'il n'est pas face au Vésuve en éruption. Ça déborde, il faudrait presque s'accompagner de Charon pour naviguer dans ces coulis de chiasses. L'odeur, parlons-en. Ca doit être quelque chose. Pire que Depardieu enfermé dans une cellule et contraint de manger la viande la plus rouge. Une concentration énorme de fer. Une odeur de souffre que tu ne peux ressentir qu'après l'exploser d'une usine de confection d'armes militaires. C'est comme le Koweït en 1991, des puits de pétroles qui jaillissent de partout. Un truc invraisemblable tellement ça paraît démesuré. Cette traînée, plutôt que de gâcher toute cette sève anale en l'envoyant périr dans les égouts elle pourrait le partager.  
''Vous l'imaginez comment ? Je l'imagine encore juvénile, comme son visage. Un truc étroit, quasi invisible entre deux fesses qu'elle tient à sa croupe. Le tout caché derrière une aspect rosé et quelques touffes de longs poils blonds parsemés qui ont pu s'imbiber de la sueur, du sang et de l'urine produite par des journées de stress intense à enchaîner les lives et les présentations commerciales. Un truc aussi mignon qu'un petit félin, mais capable de grogner à lui seul comme une meute de Cerbère enragés qui viennent de se faire ouvrir les portes de l'Hadès. Car derrière ce petit fessier, se cache des litres d'étrons. Et je me demande bien à quoi ressemble son trou de balle quand il commence à s'entre-ouvrir pour laisser se disloquer en haute mer le vol 447 Air France. Aux chiottes, après un kebab mal digéré. Merci la viande avariée. Son cul blanc vissé sur la cuvette. La voilà rendue à pousser comme tout autre mortel pour que son trou du cul commence à entrer en ébullition, un volcanologue se demanderait là s'il n'est pas face au Vésuve en éruption. Ça déborde, il faudrait presque s'accompagner de Charon pour naviguer dans ces coulis de chiasses. L'odeur, parlons-en. Ca doit être quelque chose. Pire que Depardieu enfermé dans une cellule et contraint de manger la viande la plus rouge. Une concentration énorme de fer. Une odeur de souffre que tu ne peux ressentirVous l'imaginez comment ?
Je l'imagine juvénile, comme son visage. Un truc étroit, quasi invisible entre deux fesses rebondies qu'elle tient pour croupe. Le tout caché derrière une pigmentation rosée et quelques touffes de longs poils blonds parsemés qui ont pu s'imbiber de la sueur, du sang et de l'urine produite par une artiste du show-business confrontée au stress des lives et des présentations commerciales.
 
Quelque chose qui attendrie tout le monde, comme un panda. Mais capable de grogner à lui seul comme mille Cerbère enragés à qui on ouvre les portes de l'Hadès quand le terrible instant vient. Ne vous trompez pas derrière ce fessier se cache des litres d'étron. Et je me demande bien à quoi ressemble son trou de balle quand il commence à s'entre-ouvrir pour laisser se disloquer le 447 Air France en haute mer. Aux chiottes, après un kebab mal digéré. Merci la viande avariée. Son cul de blanbeck vissé sur la cuvette et la voilà rendue à pousser comme les autres mortels. Et son trou de balle doit entrer en ébullition comme jamais, je pense même qu'un volcanologue se demanderait là s'il n'est pas face à une nouvelle éruption du Vésuve. Ca déborde, offrant un nouveau camouflage forêt à cette cuvette à tel point qu'il faudrait presque s'accompagner de Charon pour visiter ces coulis de chiasse.
 
Et l'odeur, parlons en. Ca doit être quelque chose. Quelque chose que même des gens aguerris, des Depardieu ou autres ne seraient pas en capacité de nous offrir. Du fer à n'en plus finir. Comme si une usine venait d'être rasé. Une odeur de souffre. Comme le Koweït en 1991, des puits de pétrole qui jaillissent de partout. On ne sait plus où mettre la tête. Un truc invraisemblable tellement ça paraît démesuré.
 
Et cette traînée, plutôt que de gâcher toute cette sève anale pour l'envoyer dans l'obscurité des égouts elle pourrait le partager.  qu'après l'exploser d'une usine de confection d'armes militaires. C'est comme le Koweït en 1991, des puits de pétroles qui jaillissent de partout. Un truc invraisemblable tellement ça paraît démesuré. Cette traînée, plutôt que de gâcher toute cette sève anale en l'envoyant périr dans les égouts elle pourrait le partager.  





Version du 14 novembre 2019 à 22:47

Le titre original est Le trou du cul de la chanteuse Angèle


Vous l'imaginez comment ? Je l'imagine encore juvénile, comme son visage. Un truc étroit, quasi invisible entre deux fesses qu'elle tient à sa croupe. Le tout caché derrière une aspect rosé et quelques touffes de longs poils blonds parsemés qui ont pu s'imbiber de la sueur, du sang et de l'urine produite par des journées de stress intense à enchaîner les lives et les présentations commerciales. Un truc aussi mignon qu'un petit félin, mais capable de grogner à lui seul comme une meute de Cerbère enragés qui viennent de se faire ouvrir les portes de l'Hadès. Car derrière ce petit fessier, se cache des litres d'étrons. Et je me demande bien à quoi ressemble son trou de balle quand il commence à s'entre-ouvrir pour laisser se disloquer en haute mer le vol 447 Air France. Aux chiottes, après un kebab mal digéré. Merci la viande avariée. Son cul blanc vissé sur la cuvette. La voilà rendue à pousser comme tout autre mortel pour que son trou du cul commence à entrer en ébullition, un volcanologue se demanderait là s'il n'est pas face au Vésuve en éruption. Ça déborde, il faudrait presque s'accompagner de Charon pour naviguer dans ces coulis de chiasses. L'odeur, parlons-en. Ca doit être quelque chose. Pire que Depardieu enfermé dans une cellule et contraint de manger la viande la plus rouge. Une concentration énorme de fer. Une odeur de souffre que tu ne peux ressentirVous l'imaginez comment ? Je l'imagine juvénile, comme son visage. Un truc étroit, quasi invisible entre deux fesses rebondies qu'elle tient pour croupe. Le tout caché derrière une pigmentation rosée et quelques touffes de longs poils blonds parsemés qui ont pu s'imbiber de la sueur, du sang et de l'urine produite par une artiste du show-business confrontée au stress des lives et des présentations commerciales.

Quelque chose qui attendrie tout le monde, comme un panda. Mais capable de grogner à lui seul comme mille Cerbère enragés à qui on ouvre les portes de l'Hadès quand le terrible instant vient. Ne vous trompez pas derrière ce fessier se cache des litres d'étron. Et je me demande bien à quoi ressemble son trou de balle quand il commence à s'entre-ouvrir pour laisser se disloquer le 447 Air France en haute mer. Aux chiottes, après un kebab mal digéré. Merci la viande avariée. Son cul de blanbeck vissé sur la cuvette et la voilà rendue à pousser comme les autres mortels. Et son trou de balle doit entrer en ébullition comme jamais, je pense même qu'un volcanologue se demanderait là s'il n'est pas face à une nouvelle éruption du Vésuve. Ca déborde, offrant un nouveau camouflage forêt à cette cuvette à tel point qu'il faudrait presque s'accompagner de Charon pour visiter ces coulis de chiasse.

Et l'odeur, parlons en. Ca doit être quelque chose. Quelque chose que même des gens aguerris, des Depardieu ou autres ne seraient pas en capacité de nous offrir. Du fer à n'en plus finir. Comme si une usine venait d'être rasé. Une odeur de souffre. Comme le Koweït en 1991, des puits de pétrole qui jaillissent de partout. On ne sait plus où mettre la tête. Un truc invraisemblable tellement ça paraît démesuré.

Et cette traînée, plutôt que de gâcher toute cette sève anale pour l'envoyer dans l'obscurité des égouts elle pourrait le partager. qu'après l'exploser d'une usine de confection d'armes militaires. C'est comme le Koweït en 1991, des puits de pétroles qui jaillissent de partout. Un truc invraisemblable tellement ça paraît démesuré. Cette traînée, plutôt que de gâcher toute cette sève anale en l'envoyant périr dans les égouts elle pourrait le partager.


L'autheur

Le pavé Angèle a été écris par juvenalpoete en 2019.