« Pavé Dupond Moretti » : différence entre les versions

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(rajout du pavé numéro 18)
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Le Maître, enfin réarmé pour mener sa croisade Républicaine, s’évanouit dans la nature pour conquérir la Jérusalem fasciste en se mouvant à l’aide de puissantes flatuosités, tel un Mirage 2000, et tout content d’user de son nouveau derrière flambant-neuf.
Le Maître, enfin réarmé pour mener sa croisade Républicaine, s’évanouit dans la nature pour conquérir la Jérusalem fasciste en se mouvant à l’aide de puissantes flatuosités, tel un Mirage 2000, et tout content d’user de son nouveau derrière flambant-neuf.
== Pavé #19 ==
Par [https://www.jeuxvideo.com/profil/fmvelvetroom?mode=infos FMvelvetRoom ]
''"Eric DUPONT MORETTI surpris à O'TACOS"''
9h23.
L'heure du 3eme en cas de la matinée pour le hussard de la cinquième. Aujourd'hui, ce sera O'tacos. "...fait chier.. ils sont pas encore ouvert.. ".Il est temps de leur partager les valeurs de la cocarde, pensa-t-il. L'ogre du Nord tapa avec frénésie au carreau de l'enseigne. Le tenancier du négoce huileux vînt à sa rencontre. " Selem frère désolé on..."
E.D.M le coupa net. " A d'autres, le gris ! Tu me fais chauffer tes cuisine ou je bouffe tes allocs! "
Il appuya ses derniers mots d'une odeur rance; en grand démocrate, le maître était adepte des méthodes de dissuasion plutôt que de la force brute et avait donc lâché un voluptueux silencieux en guise d'avertissement : l'on ne refuse le couvert au justicier du royaume du Nord. Il exigeait sa pitance céans.
Sa réputation le précédait: dans le quartier, on reconnaissait le maître à l'odeur bien avant de le reconnaître à la vue. Ses sempiternelles effluves gastrique avaient imprégnées de leur odeur, à force de répétition, l'inconscient collectif si bien qu'à Matignon, l'on était capable d'évaluer l'humeur du dodu tribun à la teneur de ses pets.
Et aujourd'hui, elle était mauvaise.
Le tenancier du O' tacos, dès qu'il compris à qui il avait à faire ,s'excusa et s'exécuta en retenant sa respiration. Le maubeugeois pénétra dans le restaurant et pris ses aises. Il flatula cette fois ci de manière sonore pour appeler un serveur , et désigna négligemment de la main, sans un mot ni même un regard, la formule giga tacos 8 viandes 12galettes. "Supplément tenders sauce biggy" ajouta fermement le Garde des sceaux.
Le restaurant s'animait peu à peu. En cuisine, l'huile de friture de l'avant veille venait joyeusement crépiter sur les murs pour accompagner la cuisson de carcasse broyée réhydratée de barbaque polonaise décongelée (halal). Le spectacle culinaire était accompagné d'un fond de sonore, tantôt hatik tantôt koba la d ou plk. Mais ce ne fut pas avant la fin d'un bon gros banger de DTF que l'ancien ténor du barreau reçût son taclard. "Tu me remets un coup d'huile, l'arabesque ! Faut que ça glisse rapidement, aujourd'hui je mange léger" gaussa-t'il au jeune employé.
Le maître croqua, et de l'huile gicla.En connoisseur, il savait que c'était signe d'un bon tacos. Il péta alors, pour exprimer son contentement au personnel.
Au bout de quelques bouchées, le tacos était déjà pratiquement terminé. Il ralentit la cadence pour profiter encore quelques instants de ce plaisir huileux qui dégoulinait le long de ses babines et venait tacher son ensemble républicain en de long filets disparates.
Puis, ce fût le signal
Un grondement sonore. Une légère vibration de l'intestin. Le terroriste des prétoires le sait : il n'a que peu de temps. Il se leva d'un bond, blême, la croupe chancelante, haletant. Il bouscula avec véhémence le serveur et se précipita vers les commodités. Il leva sa toge et pris place sur le trône maculé.
Le belliqueux colombin qui lui ceignait les tripes abdiqua. C'est la rupture. Les entrailles du natif de maubeuge se déchirerent dans un grincement strident en déversant un flot de merde qui recouvrit rapidement le sol. Très vite, le restaurant fut submergé. Un véritable torrent se forma, et ce fût bientôt les silhouette du personnel qu'on pût distinguer emporté par ce raz de marée de coulante républicaine. Il faut dire qu' Acquitator ne s'était toujours pas soulagé complètement
de l' acariâtre fardeau qui taraudait inlassablement le pourtour de son fondement.
"Moi, ...ministre de la justice.... non, ....je ne veux pas". Le sieur Moretti divaguait complètement, l'air hagard, hirsute, blaffard, à la limite de l'inconscience , les yeux mi-clos tandis que le torrent de défécation continuait de se déverser de son orifice béant tel une bouche a incendie.
C'est alors que l'innomable se produisit.
La chose, d'un bel acabit, paraissait siphonner l'âme du maître tant et si bien qu'elle prit forme et s'anima. D'abord un bras de merde, puis un deuxième se materialiserèrent en tâtonnant au hasard les alentours. Dans un ultime spasme gastrique , le maître libéra un monticule noirâtre qui glissa se placer en guise de tête sur la cauchemardesque créature. La cinquième était en danger.
C'est cette pensée qui traversa l'esprit du Marteau de la justice. A une vitesse fulgurante, il repris pleine possession de ses moyens, tourna dos à la créature, leva sa toge et se mit en position. Il crispa tout les muscles de son corps , et libéra un pet d'une puissance inouïe en direction du monstre de merde. Ce dernier fut instantanément vaporisé. Dans les décombres, un rayon de soleil vint éclairer les vestiges du O'tacos.
Oui, la cinquième avait encore de beaux jour devant elle, tant qu' Éric Dupont Moretti sera là pour la défendre


== Références ==
== Références ==