« Nicolas Supiot » : différence entre les versions

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'''Nicolas Supiot''' est un artisan du pain breton, devenu la source d'un délire du [[18-25]].   
'''Nicolas Supiot''' est un artisan du pain breton, devenu la source d'un délire du [[18-25]].   


Le délire tire son origine d'un reportage de 15 min réalisé en 2006 par Matthieu Marin et commandité par le CRDP de Bretagne, faisant partie d'une série de sujets visant à mettre en valeur le savoir faire d'artisans bretons. Le reportage, qui ne comporte aucune voix-off, suit le boulanger traditionnel breton Nicolas Supiot tout au long de la préparation d'une de ses fournées.   
Le délire tire son origine d'un reportage de 15 min réalisé en 2006 par Matthieu Marin et commandité par le CRDP de Bretagne, faisant partie d'une série de sujets visant à mettre en valeur le savoir faire d'artisans bretons. Le reportage, qui ne comporte aucune voix-off, suit le boulanger traditionnel breton Nicolas Supiot tout au long de la préparation d'une de ses fournées.<ref>https://vimeo.com/5084694</ref>  


Nicolas Supiot prépare son pain de manière 100% artisanale et écologique et a la particularité d'attacher une extrême importance aux détails, ne laissant aucun aspect des processus de la fabrication de son pain au hasard. On le voit ainsi secouer son eau dans un récipient spécial afin de créer un vortex qui lui redonnera l'animation et la vie ôtée par le filtrage préalable, pétrir et malaxer sa pâte selon les gestes que les anciens avaient dans le temps ou encore allumer son four de ferme traditionnel, alimenté par des fagots de chêne ou de pommier destinés à permettre au pain de développer des arômes spécifiques.   
Nicolas Supiot prépare son pain de manière 100% artisanale et écologique et a la particularité d'attacher une extrême importance aux détails, ne laissant aucun aspect des processus de la fabrication de son pain au hasard. On le voit ainsi secouer son eau dans un récipient spécial afin de créer un vortex qui lui redonnera l'animation et la vie ôtée par le filtrage préalable, pétrir et malaxer sa pâte selon les gestes que les anciens avaient dans le temps ou encore allumer son four de ferme traditionnel, alimenté par des fagots de chêne ou de pommier destinés à permettre au pain de développer des arômes spécifiques.   
Contributeurs, Kheys
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