« Jeuxvideo.com - Une odyssée interactive » : différence entre les versions

Chapitre 5
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=== Chapitre 5 - Décollage de la publicité et du redactionnel ===
=== Chapitre 5 - Décollage de la publicité et du redactionnel ===
''En cours.''
L'équipe désire toujours plus enrichir JVC. D'abord un annuaire des sites traitant de jeux-vidéos implémenté sur JVC, puis une petite boutique pour vendre des Action Replay en février 1998. Une version ''offline'' du site de 5Mo seulement permettant d'avoir accès à l'intégralité de son contenu voit le jour sur disquette, mais reste peu diffusée. Pendant ce temps les bénéfices dûs aux publicités sont en dent de scie, et Lightman souhaite trouver une solution plus pérenne. Il dégotte une petite régie parisienne aussi artisanale que l'OI pour gérer les pubs qui génèrent environ 10.000F à 15.000F par mois. Cependant le serveur Minitel reste le principal pourvoyeur de fonds et Lightman a conscience qu'il doit continuer de chercher de nouveaux revenus.
 
Le site ''I-score.com'' révèle le classement des sites français les plus visités : Jeuxvideo.com est 26e, ce qui enthousiaste fortement Lightman qui commence à réaliser le fort potentiel du site. L'équipe se retrouve pour la deuxième fois IRL à Paris pour participer à une conférence où Lightman présenta l'évolution de l'ETAJV et de Jeuxvideo.com devant un public. Une expérience stressante, mais qui lui permit de rencontrer d'autres créateurs. Il participe aussi à deux concours de création d'entreprise où l'OI gagne deux prix et un peu d'argent.
 
En juin 1998 le palier du million de vues en un mois est atteint, et les revenus de la publicité décollent enfin, ce qui permet d'employer Stoub et de lui verser un salaire. En septembre 1998 l'ETAJV est déclinée sur console, et JVC migre sur un serveur flambant neuf. Mais un nouveau Goliath entre dans l'arène : ''Gamespot.fr'', une succursale française du géant américain ''Gamespot.com'', et qui compte bien écraser JVC. Lightman refuse tout compromis et continue de tracer son chemin.
 
Pour conserver son avance, JVC subit une refonte pilotée par Stoubs qui permet l'ajout de nouvelles rubriques. Apparaissent des tests de jeux-vidéos réalisés sommairement par Stoub et Lightman sur leur temps libre, des dossiers sur le jeu-vidéo, mais aussi des ''previews'' sur les prochains jeux à sortir délivrant des informations que Lightman glanait en visitant des développeurs et des salons. JVC devient alors plus qu'un site amateur : un magazine en ligne qui s'impose de plus en plus dans le paysage de l'internet français.
 
=== Chapitre 6 - Premier salon, premiers salariés ===
''En cours''


== Références ==
== Références ==
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