Encyclopedia Noelica:UPR
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L'Union populaire républicaine (UPR) est une secte vouant un culte de la personnalité à François Grasselineau , illustre neveu de Jabba le Hut et fondateur de la secte. À ses heures perdues, cette secte fait du jeu de rôle, essentiellement en se déguisant en parti politique et en imaginant Grasselineau Président de la République™.
Débuts
Le 25 mars 2007, François Grasselineau fonde l'UPR et définit la profession de foi du groupe. Lui-même, prophète du Frexit, doit apporter bonheur et prospérité à la France grâce au saint Article 50 Fichier:article50.jpeg de la constitution européenne. Pendant 10 ans, l'UPR tente d'exister en se présentant comme le nouveau grand parti du paysage politique français et en spammant tout le monde sur internet. Fichier:membre upr.png Les médias réagissent tous par le mépris et l'ignorance (probablement dû au fait qu'ils n'étaient que quelques centaines d'e-militants). Les adulateurs de Grasselineau en concluent, naturellement, qu'ils sont ignorés parce qu'ils dérangent le Système, et réagissent à l'indifférence des journalopes du Système en les insultant et les harcelants. Ils font de même avec Wikipédia, en tentant de créer de force la page de l'UPR. Les résultats obtenus sont saisissants : les journalopes passent de l'ignorance à la détestation, et les wikipédés empêchent la création de la page en représailles pendant de longues années. (Quoi ? Les modérateurs de wikipédia prendraient des décisions basées sur le ressentiment ? J'en pleure, j'en tremble.)
L'UPR décide alors de se lancer dans le réel en plus du virtuel. Concrètement, cela se traduit par des campagnes kolossales d'affichage de la tête de François Grasselineau.
Élection présidentielle française de 2017 : naufrage en haute mer
L'UPR, jusque-là confidentielle, se fait réellement connaître en 2017, lors de la campagne présidentielle à laquelle Grasselineau parvient à participer. Tout a très bien commencé, avec ses airs d'ambassadeurs, ses discours professoraux et sa merveilleuse connaissance des traités européens. Jusqu'à ce que la campagne coule, entraînée par le naufrage de son porte-avions.
Le porte-avions
En effet, contrairement à une idée reçue, l'UPR avait d'autres propositions que de sortir des traités européens ! L'une de ces propositions était de construire un deuxième porte-avions pour épauler le Charles de Gaulle. Ambitieuse proposition, coûteuse proposition. Naturellement, une journalope a interrogé Grasselineau sur le prix de la bête : question bien simple et bien naturelle vu la proposition, à laquelle Grasselineau n'avait pas la réponse.
Pensez-printemps les amis ! Fichier:pensez printemps.png
Résultat des courses
Opposition au mouvement des Gilets Jaunes
Lorsque fin 2018, poussés à bout par les prix du carburant, qui atteignent les 1,8€ le litre (oui, oui... chut.), les Français de campagne se soulèvent contre le gouvernement, François Grasselineau les compare aux "révolutions de couleur" organisées par la CIA pour déstabiliser les régimes hostiles aux USA. Il n'est pas loin de les voir à la manœuvre. Modèle:slip Il se moque de leur nom, appelle les militants de l'UPR à ne pas participer au mouvement et de voter UPR à la place.
Élections européennes de 2019 : Madame Caca
Mmmmh, tu veux te faire emprisonner dans ma grande Union Européenne ? Hihi !
Ah ! Caca !
Au cours de cette élection, Asselineau s'est encore une fois brillamment illustré lors des débats télévisés. Fort de son premier succès avec les menottes de l'Union Euro-SM, il s'illustra donc une nouvelle fois, parvenant à faire parler de lui tout en montrant à la fois son sens de la diplomatie et son humour irrésistible, d'une pierre, trois coups !
AH ! CACA MDR C'EST LE CACA ! Fichier:pensez printemps.png C'EST MADAME CACA MDRRRR VOUS AVEZ COMPRIS ? Fichier:pensez printemps.png CACA PROUT MDRRRR OUPS JE L'EST DIT Fichier:pensez printemps.png
L'apogée de l'UPR
En passant, ces élections ont été l'apogée de l'UPR, tant électorale (1,17%) que militante : la marche du Frexit est la plus grande prouesse jamais réalisée par le parti.
Soirée Brexit
Élections municipales de 2020 : le virage islamiste
Fort de ses 1%, le parti tente de conquérir un nouveau créneau électoral très prometteur : l'islamisme ! C'est ainsi que la "rock star" de l'UPR pour élections municipales de 2020 (après Grasselineau je veux dire) est Samir Kherouni, candidat UPR de la Courneuve ! Réunissant 11% des suffrages, il parvient à être élu conseiller municipal sur sa seule étiquette UPR, sans alliance ni accords de partis ! Un petit exploit, d'autant que son score offre à l'UPR un deuxième conseiller municipal UPR à la Courneuve : Mohamed Bekhtaoui ! Cependant, on découvrira quelques mois plus tard que Bekhtaoui était un islamiste ayant déjà des antécédents judiciaires...
Par la suite, l'UPR a encore renforcé son ancrage du côté islamiste de la Force en couvrant d'éloges Makram Akrout, boulanger de qualité s'avérant être lui aussi un islamiste ! Décidément, l'UPR a du flair si j'ose dire.
Effondrement du parti
On l'aura compris, François Grasselineau aime les grands Arabes barbus. Ce que l'on ignorait, c'est qu'il aime aussi les petits Arabes bien rasés.
L'un d'entre eux s'avérait ne pas vraiment apprécier l'exercice. Est-ce lié à la lointaine parentèle de Jabba Asselinhut ? L'histoire ne le dit pas. Quoi qu'il en soit, ce jeune éphèbe des temps modernes envisageait de porter plainte, ce qui risquait évidemment d'entacher l'image de Grasselineau, et avec lui celle du parti tout entier. Les quelques gens sérieux du mouvement - la plupart des membres du Bureau national en gros, soit quelques dizaines de personnes - tentèrent donc de régler le problème en loucedé avant qu'il ne soit trop tard, en tentant de convaincre Grasselineau de discrètement céder sa place avant que l'affaire n'éclate au grand jour. Pour ce faire, ces génies ont utilisé la fantastique méthode du courriel collectif à tous les membres du bureau, quelle excellente idée, je ne vois pas ce qui pourrait mal se passer.
Deux jours plus tard, les journalopes du Figaro se sont procurées le courriel via une balance. En réaction, Grasselineau a accusé les auteurs d'avoir fait fuiter l'information exprès, de mentir et de n'avoir pas d'autre intention que de le putscher pour prendre sa place. Beaucoup d'entre eux étaient des membres fondateurs, avaient passé treize ans à militer, souvent gratuitement, donnant du temps et de l'argent pour le parti, engageant leur image publique dans l'aventure. Grasselineau les a remerciés en les traitant de putschistes arrivistes miskine.
Le chapon amateur de petits Arabes réplique donc en prenant le contrôle du site web et de la chaîne youtube pour déverser des mensonges sur ses opposants, et organise des élections anticipées du Bureau National pour remplacer tous les "putschistes" (majoritaires dans ce bureau) par des séides fidèles. Sans surprise, les membres, très largement gouroutized, votent pour la liste pro-Asselineau, et les opposants quittent le parti. Ils révèlent quelques autres singeries au passage, comme le fait que les 36.000 adhérents revendiqués alors par le parti, qui affichait fièrement un compteur d'adhérents en direct, n'existent pas, et que le nombre réel d'adhérents se situe dans les 20.000. Grasselineau réagit en supprimant le compteur d'adhérents. Voilà.
Coming-out de François Grasselineau
Cependant, dans ce parti démocrate, social, progressiste, "de gauche" même oseraient certains, on pouvait s'attendre, très naturellement, à ce que des membres du parti soient gênés par la question de l'orientation sexuelle de leur patron, n'est-ce pas ?
Il se trouve que le premier du parti à sembler gêné par cette question ne soit autre que...
Lorsqu'il découvre que la crise du Coronavirus (surtout de sa gestion par le gouvernement srx ) crée une véritable opposition au pouvoir en place, Grasselineau, comme pour les Gilets Jaunes, émerge de son canap' et tente de surfer sur la hype. Malheureusement pour lui, certains avaient déjà investi le marché, et notamment son ennemi de toujours, le fameux Florian Philippote. Grâce au Coronavirus, son parti bidesque, que Grasselineau méprisait et ridiculisait un an auparavant, décollait en flèche, pendant que Grasselineau coulait sous le poids de ses propres dramas. Vu la quantité de sel que Grasselineau avait contre Philippot quand il bidait (un peu) moins que lui, imaginez le seum maintenant que les rôles étaient inversés.
Face à un manifestant lui demandant pourquoi il ne manifeste pas avec Philippot et ses centaines de milliers de manifestants, Grasselineau éructe : « Philippot est ekstrême droite ! Philippot est ekstrême droite ! » comme si lui-même n'était pas constamment attaqué par ce type de procédé rhétorique.