« Le Discord des Camarades » : différence entre les versions
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Le Discord des Camarades a été créé par Arby durant l'été 2017, suite à un "délire" avec Luc(k)y et Skut autour de l'idée de fonder un serveur autogéré. | Le Discord des Camarades a été créé par Arby durant l'été 2017, suite à un "délire" avec Luc(k)y et Skut autour de l'idée de fonder un serveur autogéré. | ||
Le serveur est né en tant qu'excroissance d'une autre communauté, dont la plupart des membres étaient issu·e·s du forum Blabla 18-25 ans de Jeuxvideo.com. | Le serveur est né en tant qu'excroissance d'une autre communauté, dont la plupart des membres étaient issu·e·s du forum Blabla 18-25 ans de Jeuxvideo.com. |
Version du 1 février 2019 à 22:35
Le Discord des Camarades a été créé par Arby durant l'été 2017, suite à un "délire" avec Luc(k)y et Skut autour de l'idée de fonder un serveur autogéré. Le serveur est né en tant qu'excroissance d'une autre communauté, dont la plupart des membres étaient issu·e·s du forum Blabla 18-25 ans de Jeuxvideo.com. Suite à un schisme avec cette communauté, il existe désormais en tant que communauté autonome, et s'est solidifié dans le réel par des amitiés (et plus) entre les membres.
Histoire
I. Le Discord de secours
Au départ utilisé comme Discord de secours, La Commune, ancien nom du Discord des Camarades, sert avant tout à pallier certaines périodes de mauvaise ambiance sur le Serveur de l'Autre Communauté (SAC). C'est ainsi que Luc(k)y, Skut et Bolso seront les pionniers du serveur, puisqu'en y installant le premier Bot Musique (un jukebox collaboratif), ils vont donner le premier souffle à ce serveur. Un bot pour poster des images de chats, et un salon dédié feront aussi leur apparition pour le plus grand plaisir de Livia et Bolso. Pendant plusieurs mois, La Commune sera donc un Discord secondaire à celui du SAC, tantôt employé pour fuir l'afflux de nouve·aux·lles issus de JVC, à l'humour relativement douteux, tantôt pour fuir les conflits n'ayant de cesse de pulluler au sein du SAC. Suite à une dispute entre LG et Arby sur le SAC, conduisant au bannissement d'Arby, de nombreux membres vont faire défection vers La Commune et protester pendant plusieurs jours sur le SAC, en soutien à Arby, qui finira par être dé-banni. C'est ainsi que La Commune connaitra ses premières utilisations, d'abord en tant que chillout, puis en tant que Discord de contestation, avant d'être utilisé de manière plus régulière à la suite du départ de plusieurs membres du SAC, dont Romu, qui partira après avoir été harcelé par les administrateurs. Cet évènement entrainera le bannissement définitif d'Arby du SAC, qui protestera contre le harcèlement subi par Romu et qualifiera la modération et l'administration du SAC de "petites bites" (sauf Koala et Bolso <3).
II. L'autogestion complète ?
Après son bannissement, Arby va se consacrer à réellement mettre en place le "délire" de l'autogestion sur La Commune. Il fait de la publicité afin d'attirer de nouveaux membres, et donne à ces derniers tous les droits sur le serveur (hormis supprimer le serveur et expulser/bannir un autre membre), ce qui entrainera régulièrement la destruction complète des salons et des rôles du Discord, puis leur recréation par les Communard·e·s. La majorité des Communard·e·s, relativement exaspéré·e·s par cette situation qui empêche toute discussion sur le serveur vont faire part de leur irritation à Arby, qui intégrera une première part de modération en excluant les personnes qui n'utilisaient leurs droits que pour vandaliser le Discord. Par la suite, et grâce à l'aide d'Acrown, Arby met en place un robot du nom de Louis-Auguste Blanqui, qui aura la capacité de restaurer les salons et les rôles du Discord, et qui attribuera aux nouveaux arrivants un rôle intermédiaire, leur donnant des droits plus limités sur le serveur. Ce sont les prémices du rôles Communardounet·te (actuellement Camaradounet·te). Ce point initial marquera un arrêt dans l'idéal d'autogestion promu à la genèse de La Commune, et petit à petit l'organigramme du serveur s'orientera vers une forme de monarchie parlementaire. Durant cette période, des membres de légende tels que downage vont s'illustrer (rappelons nous du fameux smiley :brocolis:), car avec l'arrivée massive de personnages loufoques, le salon de discussion général va se transformer en vraie zone de joute verbale, où notre trublion saura se faire remarquer par sa capacité à troller les gens venus de tous bords politiques (il sera menacé de mort à la fois par des fafs et des antifas). Cela amusera certain·e·s Communard·e·s pendant une période, dont Subotai, Luc(k)y et Arby, mais d'autres vont s'éloigner du Discord, n'y retrouvant pas ce qu'ils appréciaient jadis sur le SAC, à savoir un espace de discussion convivial et communautaire.
III. Le stalinisme
Un tournant va s'annoncer à partir de Janvier 2018. En effet pour faire face au chaos qui s'est emparé du Discord, Arby va décider de mettre en place une dictature temporaire. Soutenu par le camarade Romuald, qui fera preuve d'un stakhanovisme époustouflant, puis rejoints par le camarade Luc(k)y, qui découvrira là sa nouvophobie, ils vont ainsi bannir des membres du SAC qui s'étaient infiltrés afin de propager une ambiance délétère (notamment en continuant leur harcèlement sur plusieurs membres de La Commune). De plus, ils vont réduire au silence les nouveaux arrivants qui ne partageaient pas leur vision de ce que devait être ce serveur. C'est durant cette période que la hiérarchie du serveur va commencer à se mettre en place, avec le système des Communardounet·te·s, un pallier entre les Communard·e·s et les personnes ne possédant pas de rôles, ainsi que l'arrivée du rôle Versaillais·e lié salon #goulag-autogéré, un salon qui sera employé pour isoler les nouveaux arrivants jugés trop disruptifs, et leur proposer de faire leur autocritique. Un épisode de psychose va s'installer, une guerre froide s'étant instaurée entre les membres du SAC et ceux de La Commune : c'est une ère de soupçon qui démarre sur les deux serveurs. Chasse aux sorcières, aux double-comptes et autres Maccarthysmes vont inquiéter certains membres étant à la fois sur le SAC et sur La Commune, et n'ayant pas envie de prendre parti dans ce conflit, partageant des affinités avec des membres issu·e·s des deux communautés.
IV. L'ouverture
L'ajout de l'émoji :handshake: au nom du serveur, délire parmi les innombrables délires propagés par Action et Subotai sur le serveur, marquera une ère nouvelle de prospérité. La tentative d'établir une paix entre le SAC et La Commune, impulsée par Acrown, LG et Arby, avec la mise en place d'un salon #relay, grâce à un bot codé par Acrown, fera pendant quelques jours le pont entre le SAC et La Commune, donnant aux membres qui étaient banni·e·s sur un serveur ou sur l'autre l'opportunité d'échanger. Toutefois, cela se soldera par un échec, l'administration du SAC étant fermement opposée à tout processus de pacification. En effet, dès l'ouverture du salon #relay par Acrown, et plus d'un an après le départ des membres du SAC vers La Commune, la rancune est malheureusement toujours présente du côté du SAC. Insultes et noms d'oiseaux fuseront de la part de l'administration du SAC (qui proscrit néanmoins ce genre de comportement dans sa charte), jusqu'à ce qu'Acrown, déçu par ce comportement, décide de clore le salon. Les membres de La Commune continueront leurs tentatives d'amener la paix, mais leurs plans seront contrecarrés par une divulgation d'informations privées concernant Arby, sur le SAC, par un de leur membre. Cela entraînera une crise nerveuse dans l'administration du SAC et conduira à l'exclusion définitive de Ex nihilo, ainsi qu'au bannissement temporaire de Livia. Les colombes de la paix cesseront alors définitivement leurs sollicitations, ayant compris que la réconciliation serait impossible à cause de l'administration du SAC.
V. La solidification
Depuis l'été 2018, de nombreux membres de La Commune se sont rencontrés lors IRL. Des délires et des memes propres aux Camarades en ont fait un espace de discussion unique. Des amitiés et des amours se sont tissés, et désormais le lien qui soude la communauté originelle prend ses racines en dehors du virtuel.