Le Discord des Camarades

De JVFlux
L'ancien logo du Discord, créé par Acrown, quand il était nommé "Les Communard·e·s"

Le Discord des Camarades a été créé par William durant l'été 2017, suite à un "délire" avec Lucy et Skut autour de l'idée de fonder un serveur autogéré.

Le serveur est né en tant qu'excroissance du discord L'Appart, dont la plupart des membres étaient issus du forum Blabla 18-25 ans de Jeuxvideo.com.

Suite à un schisme entre les deux groupes, il existe désormais en tant que communauté autonome, et s'est solidifié dans le réel par des amitiés (et plus) entre les membres.

Histoire

I. Discord de secours

L'apparence originelle du Discord, et son nom de base : "La Commune"

Au départ utilisé comme Discord de secours, La Commune, ancien nom du Discord des Camarades, sert avant tout à pallier certaines périodes de mauvaise ambiance sur L'Appart.

C'est ainsi que Lucy, Skut et Bolso seront les pionniers du serveur, puisqu'en y installant le premier Bot Musique (un jukebox collaboratif), ils vont donner le premier souffle à ce serveur. Un bot pour poster des images de chats, et un salon dédié feront aussi leur apparition pour le plus grand plaisir de Livia et Bolso.

Pendant plusieurs mois, La Commune sera donc un Discord secondaire à celui de L'Appart, tantôt employé pour fuir l'afflux de nouveaux issus de JVC, à l'humour relativement douteux, tantôt pour fuir les conflits n'ayant de cesse de pulluler au sein de L'Appart.

Suite à une dispute entre LG et William sur L'Appart, conduisant au bannissement de William, de nombreux membres vont faire défection vers La Commune et protester pendant plusieurs jours sur L'Appart, en soutien à William, qui finira par être dé-banni.

C'est ainsi que La Commune connaîtra ses premières utilisations, d'abord en tant que chillout, puis en tant que Discord de contestation, avant d'être utilisé de manière plus régulière à la suite du départ de plusieurs membres de L'Appart, dont Romu, qui partira après avoir été troll à son tour par les administrateurs de L'Appart.

Cet évènement entraînera le bannissement définitif de William de L'Appart, qui protestera contre le "harcèlement" subi par Romu et qualifiera la modération et l'administration de L'Appart de "petites bites". (sauf Koala et Bolso).

II. Autogestion complète ?

Louis-Auguste Blanqui, le premier bot dédié au serveur

Après son bannissement, William va se consacrer à réellement mettre en place le "délire" de l'autogestion sur La Commune.

Il fait de la publicité afin d'attirer de nouveaux membres, et donne à ces derniers tous les droits sur le serveur (hormis supprimer le serveur et expulser/bannir un autre membre), ce qui entraînera régulièrement la destruction complète des salons et des rôles du Discord, puis leur recréation par les Communard·e·s.

La majorité des Communard·e·s, relativement exaspérés par cette situation qui empêche toute discussion sur le serveur vont faire part de leur irritation à William, qui intégrera une première part de modération en excluant les personnes qui n'utilisaient leurs droits que pour vandaliser le Discord.

Par la suite, et grâce à l'aide d'Acrown, William met en place un robot du nom de Louis-Auguste Blanqui, qui aura la capacité de restaurer les salons et les rôles du Discord, et qui attribuera aux nouveaux arrivants un rôle intermédiaire, leur donnant des droits plus limités sur le serveur.

Ce sont les prémices du rôles Communardounet·te (actuellement Camaradounet·te). Ce point initial marquera un arrêt dans l'idéal d'autogestion promu à la genèse de La Commune, et petit à petit l'organigramme du serveur s'orientera vers une forme de monarchie parlementaire.

Durant cette période, des membres de légende tels que downage vont s'illustrer (rappelons nous du fameux smiley :brocolis:), car avec l'arrivée massive de personnages loufoques, le salon de discussion général va se transformer en vraie zone de joute verbale, où notre trublion saura se faire remarquer par sa capacité à troller les gens venus de tous bords politiques (il sera menacé de mort à la fois par des fafs et des antifas).

Cela amusera certains Communard·e·s pendant une période, dont Subotai, Lucy et William, mais d'autres vont s'éloigner du Discord, n'y retrouvant pas ce qu'ils appréciaient jadis sur L'Appart, à savoir un espace de discussion convivial et communautaire.

III. Stalinisme

La période des grandes purges fera de nombreuses victimes

Un tournant va s'annoncer à partir du 12 Janvier 2018, date historique.

En effet, pour faire face au chaos qui s'est emparé du Discord, William va décider de mettre en place une dictature temporaire. Soutenu par le camarade Romu, qui fera preuve d'un stakhanovisme époustouflant, puis rejoints par le camarade Lucy, qui découvrira là sa nouvophobie, ils vont ainsi bannir des membres de L'Appart qui selon les suppositions de William, s'étaient infiltrés afin de propager une ambiance délétère (notamment en continuant leur harcèlement sur plusieurs membres de La Commune).

De plus, ils vont réduire au silence les nouveaux arrivants qui ne partageaient pas leur vision de ce que devait être ce serveur.

C'est durant cette période que la hiérarchie du serveur va commencer à se mettre en place, avec le système des Communardounet·te·s, un pallier entre les Communard·e·s et les personnes ne possédant pas de rôles, ainsi que l'arrivée du rôle Versaillais·e lié salon #goulag-autogéré, un salon qui sera employé pour isoler les nouveaux arrivants jugés trop disruptifs, et leur proposer de faire leur autocritique. En réalité, ce salon servirait de prison pour ces membres, qui seraient exclus du reste du groupe sans recours ni explication claire. Cette mesure est en réalité un "soft-ban", c'est-à-dire une exclusion temporaire et non assumée, destinée à éloigner ces membres du reste de la communauté sans les bannir formellement.

Un épisode de psychose va s'installer, une guerre froide s'étant instaurée entre les membres de L'Appart et ceux de La Commune : c'est une ère de soupçon qui démarre sur les deux serveurs.

Chasse aux sorcières, aux double-comptes et autres Maccarthysmes vont inquiéter certains membres étant à la fois sur L'Appart et sur La Commune, et n'ayant pas envie de prendre parti dans ce conflit, partageant des affinités avec des membres issus des deux communautés.

IV. L'ouverture

Un ancien nom du serveur : "Les Communard·e·s"

Le serveur va décider de s'ouvrir à toutes les personnes en incluant le langage inclusif dans son nom et ses rôles. Il devient ainsi Les Communard·e·s.

L'ajout de l'émoji "🤝" au nom du serveur, délire parmi les innombrables délires propagés par Action et Subotai sur le serveur, marquera une ère nouvelle de prospérité.

La tentative d'établir une paix entre L'Appart et La Commune, impulsée par Acrown, LG et William, avec la mise en place d'un salon #relay, grâce à un bot codé par Acrown, fera pendant quelques jours le pont entre L'Appart et La Commune, donnant aux membres qui étaient bannis sur un serveur ou sur l'autre l'opportunité d'échanger.

Toutefois, cela se soldera par un échec, l'administration de L'Appart étant fermement opposée à tout processus de pacification suite à des révélations sur des affaires personnelles concernant l'administration de La Commune.

En effet, dès l'ouverture du salon #relay par Acrown, et plus d'un an après le départ des membres de L'Appart vers La Commune, la rancune est malheureusement toujours présente des deux côtés.

Suite aux messages de provocations de La Commune, Insultes et noms d'oiseaux fuseront de la part de l'administration de L'Appart (qui proscrit néanmoins ce genre de comportement dans sa charte), jusqu'à ce qu'Acrown, déçu par le comportement et l'utilisation de la fonctionnalité du bot, décide de clore le salon.

Les membres de La Commune continueront leurs tentatives d'amener la paix[1] mais leurs plans seront contrecarrés par une divulgation d'informations privées concernant William, sur L'Appart, par un de leur membre.

Cela entraînera, par une décision de l'administration de L'Appart et de William, lequel s'est révélé au grand jour avec un compte secondaire sous un autre pseudonyme pour surveiller les discussions, pour exiger que l'on cesse de parler de lui et de ses informations privées et autres "drama" le concernant. Ce qui conduira à l'exclusion définitive de Lola, ainsi qu'au bannissement temporaire de Livia.

Les colombes de la paix cesseront alors définitivement leurs sollicitations, ayant compris que la réconciliation serait impossible.

V. Solidification

Depuis l'été 2018, de nombreux membres du Discord des Camarades se sont rencontrés dans l'IRL.

Des délires et des memes endogènes et exogène à cette communauté en ont fait un espace de discussion unique.

Des amitiés et des amours se sont tissés : désormais le lien qui soude la communauté prend racine en dehors du virtuel.

La suite de notre Histoire s'écrira peut-être en votre compagnie. Rejoignez-nous !

Règles

Titre I : Les droits fondamentaux des Camarades

Article 11 : La liberté est la seule patrie reconnue par les Camarades.

Article 12 : La souveraineté appartient aux Camarades. Elle est absolue et ne peut faire l'objet d'aucune délégation.

Article 13 : Les Camarades sont égaux entre eux, ils possèdent les mêmes pouvoirs de modération et ont accès à l'ensemble des salons.

Article 14 : Les Camarades reconnaissent parmi eux un Camarade Coordinateur·ice. Il est chargé de la bonne gestion du serveur.

Article 15 : Si le Camarade Coordinateur·ice échoue dans sa tâche, il peut être révoqué par la majorité qualifiée des Camarades.


Titre II : Les droits reconnus au Camarade Coordinateur·ice

Article 21 : Le Camarade Coordinateur·ice possède l'ensemble des pouvoirs de modération du serveur.

Article 22 : Le Camarade Coordinateur·ice est le seul à pouvoir bannir un Camarade, attribuer ce rôle ou le retirer.

Article 23 : Toute question portant sur le serveur peut être posée au Camarade Coordinateur·ice.

Article 24 : Le Camarade Coordinateur·ice actuellement reconnu est la Camarade Lola.


Titre III : Les droits fondamentaux des Camaradounet·te·s

Article 31 : Les Camaradounet·te·s constituent les alliés objectifs des Camarades.

Article 32 : Le rôle Camaradounet·te peut être attribué par tous les Camarades.

Article 33 : Le retrait du rôle Camaradounet·te·s ne peut se faire qu'après une discussion avec le Camarade ayant attribué ce rôle.

Article 34 : Le rôle Camaradounet·te·s donne accès à tous les salons de discussion (excepté le salon #safe-space).

Article 34-1 : Le rôle Camaradounet·te·s n'est assorti d'aucun pouvoir de modération mais protège d'une exclusion arbitraire.

Article 35 : Toute décision abusive prise par un Camarade à l'encontre d'un Camaradounet·te·s, peut faire l'objet d'un recours en excès de pouvoir auprès du Camarade Coordinateur·ice.


Titre IV : Les droits fondamentaux des Nouveaux·elle·s

Article 41 : Les nouveaux·elle·s n'ont pas de rôle par défaut.

Article 42 : Les nouveaux·elle·s ont accès à tous les salons de discussion (excepté le salon #bot et #safe-space).

Article 42-1 : Les nouveaux·elle·s n'ont aucun pouvoir de modération et peuvent subir une exclusion arbitraire.


Titre V : Les droits fondamentaux des Versaillais·e·s

Article 51 : Les Versaillais·e·s n'ont aucun droit.

Article 52 : Le rôle Versaillais·e·s peut être attribué par tous les Camarades.

Article 53 : Le retrait du rôle Versaillais·e·s ne peut se faire qu'après une discussion avec le Camarade ayant attribué ce rôle.

Article 54 : Les Versaillais·e·s n'ont accès à aucun salon hormis le #goulag-autogéré.

Article 54-1 : Ils n'ont aucun pouvoir de modération, aucun recours, et ont vocation à être expulsé·e·s, sauf autocritique pertinente.

Différents noms

Le serveur a connu plusieurs noms, évoluant au fil des modes du moment, ainsi il s'est appelé :

  • La Commune
  • Les Communards
  • Les Camarades
  • Les e-Camarades
  • Les Communard·e·s
  • Les Connard·e·s
  • Les Camarad·e·s 🤝
  • Les Camarad·e·s Jaunes
  • Les Camarad·e·s Marcheur·euse·s
  • Les Camarad·e·s du Califat
  • Le Conseil des Camarad·e·s Ministres
  • Le Conseil des Evil Camarad·e·s



Lexique et Délires

Lexique

Délires

Le délire des "Evil", instigué par Skut
Les sacrifices pour apaiser Guy Debord
Les célèbres joutes verbales opposant Greg à Romu
Un débat aussi crucial que celui sur les chips ondulés
  • Guy Debord et les "sacrifices"
  • Les barres Feed
  • La Commune de Paris
  • Le "goulag autogéré" renommé "Phénomélogie"
  • Le délire startup
  • "Le Ministre des Délires"
  • "Duel"
  • Skut le brocantier
  • L'innocence de François Fillon
  • Les sandwichs Daunat
  • Les jeux de mots autour de Karl Marx
  • Radio Skut
  • Le délire des "glaces" de Jean-Actimel
  • Le "ressenti"
  • Marjorie
  • La mort de Johnny
  • Minato l'éclair jaune de Konoha
  • Le délire Marek Halter/Jacques Attali
  • Luc(k)y le champion de tarot
  • Le Seclinisme
  • Le bureau de Stan
  • Gratuit-payant
  • Les clashs Greg VS Romu
  • Mademoiselle Fournée Dorée
  • Kobe Bryant
  • Le May Tea chaud
  • Les jumpfies de Greg
  • "0 fun"
  • Jean-Actimel : serveur de jour, sociologue de nuit
  • L'opinel
  • Les chips ondulés
  • Le musée de Skut
  • Les 100 milliards de morts du communisme
  • Evil Subotai et le délire des "Evil"
  • Les RGPD
  • Pisser sous la douche
  • Être pro-UE
  • La haine de Subotai envers les femmes/serbes/russes/...
  • Steph'
  • La gastronomie selon Skut et Luc(k)y
  • Le cunnilingus à la Leffe
  • "Réparer" en manifestation
  • Melun, coin le plus dangereux de France
  • "en ARAM c'est différent"
  • Radio Ail et Fines herbes
  • Le pulsarship de Orage
  • Les powerpoint animés
  • Scandal2rue.org
  • Monster boisson officielle du serveur
  • Les excuses de Rosa
  • Plan9
  • Les mathématiques c'est facile
  • Buissonner
  • L'accès à la fonction publique
  • L'anarchoIkéaisme
  • Délire Gauche-Droite
  • L'odeur d'Antoine Daniel
  • Le pack confort
  • Le soutien critique au PCC
  • Baba
  • Parler le Toki-Pona
  • La dialectique selon Charles
  • Le pegging
  • Yu-gi-oh jeu de cartes à collectionner
  • Monter en compétence de l'être-chien par Francis Cousin et Jean Robin

  1. Contenu non sourcé