Finaleffect4
Finaleffect4, aussi connu sous le nom du "JDG eco+", serait un spammeur d'une trentaine d'années actif sur les forums JVC, en particulier le 18-25, depuis environ dix ans[1]. L'ancienneté et la régularité de ses spams, couplés à un suivi strict des nouveautés de sa chaîne YouTube, font que de nombreux kheys le détestent[2]. Cependant, finaleffect4 s'est dédouané de ces activités en expliquant qu'un individu malveillant spammerait ses vidéos afin de lui apporter des dislikes[3]. Mais l'existence d'un topic datant de 2015 et créé par un "finaleffect4" faisant de la pub pour sa chaîne laisse supposer qu'il est bien à l'origine d'au moins une partie des spams[4]. Parmi ses autres pseudos possibles se trouvent "Le_JDG_Eco-PLUS" ou "Quiburr11".
Spam-type
Le spam habituel reprend un modèle simple. Une phrase courte de trois ou quatre mots est suivie de deux ou trois points d'exclamation. Enfin, un lien YouTube menant à une de ses vidéos est posté.
Par exemple[5] :
wath the fuck !!! https://youtu.be/WZiCZEg84Qg
Contenu de sa chaîne YouTube
Finaleffect4 se décrit lui-même comme un otaku cherchant à partager sa passion envers les mangas et les jeu vidéos. Sa chaîne YouTube, qui cumule environ 8,03K abonnés, propose du contenu peu passionnant comme des présentations de collection d'objets, des présentations de mangas ou encore des let's play. Son surnom de "JDG eco+" est assez peu en lien avec le contenu de ses vidéos étant donné qu'il ne semble pas reprendre les mimiques et le comportement du Joueur du Grenier. Au final, finaleffect4 est plus proche d'un Kirby54.
Il a également été reconnu pour avoir fait une chaîne en se faisant passé pour une fille : Sabrigameuse
Vie privée
Il a indiqué avoir travaillé pour une société pharmaceutique. Ce passage de sa vie se serait soldé par une très mauvaise expérience et il travaille désormais à son compte. Il a mentionné souffrir d'une dépression, causée par le harcèlement dont il est la cible, et serait traité par voie médicamenteuse. Il souffre également de solitude[3].
Références
